1. Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (2)


    Datte: 10/10/2019, Catégories: Gay

    ... avoir patienté cinq minutes dans le tunnel vertical qui permettait de sortir le véhicule du garage compris dans mon appartement. J’ai évité les minarets stabilisés en lévitation au-dessus de la ville et je me suis dirigé vers la plateforme volante sur laquelle était érigée l’église catholique Saint Amable de Clermont qui flottait en orbite autour de mon quartier depuis que je m’étais installé dans la métropole. Comme à son habitude lorsque je passais quasiment à l’improviste, le Père Velin s’était déjà installé dans le confessionnal. Je suis entré pour prendre ma place. Après des salutations murmurées au point où elles étaient quasiment inexistantes, je lui ai dit : « Bénissez-moi, mon Père, parce que j’ai péché ». Il m’a béni au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit et il m’a laissé parler. « Mon Père, j’ai reçu mon robot hier, il ressemble à une très bellejeune femme. Je ne pensais pas que cela me troublerait autant mais ça a été le cas. A tel point que j’ai perdu le contrôle. — Avez-vous regardé cette machine avec désir ? — Mon Père, j’ai fait bien pire. Je… je m’en suis servi comme objet sexuel… — Je peux vous aider comme je vous ai aidé auparavant, mais pour cela il faut que vous m’expliquiez exactement ce qui s’est passé dans votre cœur et dans votre corps. — Je suis tombé amoureux de son visage. Je me suis mis à l’embrasser, mais très vite tout a dérapé et mon amour est devenu luxure. — J’insiste encore une fois, sans détail je ne peux pas comprendre, et si je ne ...
    ... comprends pas c’est que vous ne vous confessez pas, mon fils. » J’admirais son sens du détail et de l’analyse. La dernière fois que je m’étais confessé au sujet de ma sexualité, le Père Velin m’avait écouté expliquer pas à pas comment j’atteignais l’orgasme pour pouvoir distinguer le bien du mal. Je lui avais décrit comment le son de ma ceinture que je défaisais provoquait mon excitation, comment j’enlevais mon pantalon et mon sous-vêtement d’un seul geste en m’imaginant désirable, en m’allongeant sur le dos, comment je déroulais une capote sur mon gode, lubrifiais le tout avant de l’enfoncer lentement dans mon cul en appréciant chaque centimètre. Je lui avais dit ce à quoi je pensais quand je faisais des va-et-vient : un bel homme qui me dominait et ne recherchait que son plaisir personnel, un vrai mec en quête de jouissance. Je lui avais fait savoir que j’atteignais d’abord un orgasme dans les fesses, purement passif, avant de pouvoir éjaculer en me branlant. Si j’avais peint tous ces détails, c’était peut-être aussi que j’avais entendu les cliquetis de la ceinture de l’uniforme du prêtre, et que, bien que j’en n’avais aucune preuve concrète, je devinais que sa curiosité n’était pas toute théorique. Cette fois-ci, je lui ai raconté tout ce que j’avais fait à la machine : ma façon de lui lécher la langue, la bouche, le visage, de frotter ma queue contre elle, de prendre ses seins en mains tout en renonçant à Dieu, d’enfoncer mes doigts dans sa bouche soumise. Les bruits ...