Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (2)
Datte: 10/10/2019,
Catégories:
Gay
... provenant de son côté du confessionnal ne laissaient plus aucune place au doute contrairement à la dernière fois. Le Père Velin était en train de semasturber en écoutant mon récit. L’idée que cet homme respectable soit subjugué par mes mots m’excitait au plus au point. Mon sexe prenait de la vigueur. J’avais trèshonte d’insulter ainsi la religion mais je ne pouvais pas m’en empêcher, je devais continuer mon récit pour faire plaisir à mon mentor et meilleur ami, alors je me suis mis à mentir : « Je me suis retenu de jouir, parce que je voulais absolument me vider les couilles dans cette salope. — Oh ! » grogna t-il en entendant ce mot, je n’étais jamais allé aussi loin avec lui, même en décrivant comment j’aimerais qu’on me prenne le cul. Sa masturbation redoubla de vitesse. « Je l’ai glissé jusqu’au bout de la table et j’ai retiré son pantalon. », mentis-je en sortant ma queue en érection pour me caresser. « Et ensuite, qu’avez-vous fait ? Je dois savoir. Avez-vous enfilé cette catin ? » — Oui, oui mon père, je l’ai prise. », dis-je après mettre branlé en grognant pendant quelques secondes tandis qu’il attendait ma réponse avec impatience. Il était impossible que mon prêtre ne sache pas que je l’avais rejoint dans la luxure. Tous deux, nous prenions énormément de plaisir à nous relancer en insultant l’androïde toutes les quelques secondes. Pour ma part je lâchais des « C’est une salope » et des « C’est unepute. » Son vocabulaire à lui était plus fleuri, cela l’excitait ...
... de la traiter de « femme de petite vertu » et de «pécheresse ». Jamais je n’avais cru pouvoir prendre autant mon pied dans une église. Bien sûr, m’imaginer défoncer le vagin de la jeune femme qui m’attendait à l’appartement était plaisant, mais c’était surtout participer au plaisir viril de mon mentor qui me rendait heureux. Je lui ai raconté deux fois comment j’ai dominé cette jeune femme artificielle. Finalement, j’ai sorti un mouchoir pour pouvoir éjaculer sans salir le lieu sacré. « Oh mon père, je jouis, je jouis ! — Allez-y, mon fils. Tout est pardonné. Tout est pardonné. » ylzyqqwx Ainsi, j’ai giclé avec la bénédiction de mon Père. Je me suis affalé contre le mur de bois, repu. Le prêtre continuait de se faire du bien à quelques pas de moi, mais il avait du mal à finir. « Dites-moi. Qu’avez-vous fait ensuite ? - Je lui ai défoncé la chatte mon père. - Elle était froide comme une machine ? - Oui, elle était toute froide. - Vous lui avez mis dans la bouche ? - Oui, je suis sorti et je l’ai forcée à me pomper. Je l’ai utilisé comme la dernière des pétasses. - Oh mon enfant… Oh… » Les bruits qu’il faisait indiquaient qu’il s’agitait beaucoup mais ne parvenait pas à terminer. Cela me faisait de la peine. Je devais faire quelque chose. « Mon père. Puis-je vous finir ? - Oh oui, mon fils » Je suis sorti et je l’ai rejoint de son côté du confessionnal. Il était tout rouge et en sueur. Je me suis agenouillé devant lui et je lui pris son pénis des mains. Je l’ai masturbé ...