1. Voyage en Ovalie


    Datte: 08/09/2017, Catégories: fh, fplusag, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme confession,

    Le conseiller pédagogique a été clair. Pour canaliser l’énergie débordante de mon fils Téo, 8 ans, il lui faut pratiquer un sport où il apprend à se contrôler. Si ses résultats scolaires proprement dits sont corrects (mais en dents de scie), son comportement à l’école m’a valu plusieurs convocations par sa maîtresse. Rétif à la discipline et bagarreur, il multiplie les incartades, dont la liste est surréaliste : il a pendu une de ses camarades par son manteau à une branche d’arbre, renversé les poteaux de foot, lâché une souris blanche dans la salle de cours, cassé le doigt d’un copain, etc. Si, au cours de la prochaine année scolaire, son comportement ne change pas, il m’a été signifié que je devrais l’inscrire à l’école publique. Je l’ai donc inscrit à la rentrée scolaire suivante le mercredi après-midi au cours de judo au centre aéré municipal. La mairie a en effet développé un vaste complexe sportif après avoir acquis un manoir. Dans le parc, de nombreux terrains de sport ont été réalisés (foot, basket, rugby, hand) ; et le bâtiment de quatre étages réservés aux sports d’intérieur. C’est une bâtisse du XIXe, un peu lourde et sans charme, mais qui est parfaitement adaptée à sa nouvelle utilisation. J’ai été étonnée de l’effet quasi immédiat des cours de judo sur Téo. Non seulement, lorsque je viens le chercher vers 19 heures, il est « vidé », mais il est beaucoup plus calme les jours suivants. En plus, il voue une véritable passion à son prof et attend avec impatience la ...
    ... séance suivante. En ce mercredi d’octobre, je suis arrivée en avance pour le ramener à la maison. C’est une belle soirée d’automne, la température est agréable. Je flâne donc dans le parc en profitant des rayons du soleil. Longeant le bâtiment, je suis tout à coup interpellée par des cris et des chants qui s’en échappent. Ils semblent provenir du sous-sol du centre. Par curiosité, je franchis le petit fil de fer qui protège le jardin anglais qui entoure l’édifice et m’approche. Il y a un vasistas semi-ouvert dont s’échappe un nuage de vapeur. J’y jette un œil et demeure pétrifiée : ce sont les douches du centre ! J’ai sous les yeux plus d’une douzaine d’hommes, entièrement nus, qui se chamaillent et plaisantent. L’angle ne me permet pas d’apercevoir leurs visages, mais leurs bas-ventres, oui ! Même lorsque nous avions passé, avec mon ex, un week-end au Cap d’Agde, je n’avais jamais vu autant de sexes masculins à la fois. Une certaine excitation me saisit. Il y en a des tout petits, des gros, des fins, des longs, des blancs, des noirs. Ils ballottent au gré des mouvements de leur propriétaire. Certains d’entre eux se caressent négligemment. Je suis hypnotisée par cet étonnant spectacle et ai du mal à contrôler mon souffle. Je profite de cet incongru défilé de virilités en liberté, sans bien comprendre les paroles des chansons que les joueurs entonnent. Je me dis qu’ils ont dû gagner leur match ! Je me demande quelle musique pourrait accompagner un tel ballet ! Je réalise que la ...
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