Voyage en Ovalie
Datte: 08/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
... taille d’un homme n’est pas liée au volume de ses organes génitaux, sujet soigneusement omis lors de nos leçons d’anatomie lorsque nous étions adolescentes et contraire à nos supputations. Certains ont les bourses qui pendouillent de manière grotesque et ballottent à chacun de leur mouvement ; pour d’autres, elles sont enfouies dans leur toison pubienne et à peine visibles. Du bout du doigt, je tente d’effacer le voile troublant la précision du spectacle que la vapeur a déposé sur la vitre. Peine perdue, elle est à l’intérieur… C’est alors qu’apparaît, de l’autre côté, tout près de moi, un visage. Un beau visage, nez busqué, abondante chevelure bouclée ruisselante, lèvres épaisses, joues rongées par une barbe naissante, et surtout de grands yeux noirs au regard profond qui me fixent avec une profonde intensité. Je suis hypnotisée, proie devant son prédateur, biche devant un loup. Je reste immobile, lui aussi. Je devine cependant une lueur croissante au fond de ses prunelles. Nous restons, face à face, ainsi un long moment. Puis, très lentement, son regard descend sur mon corps puis se fige à nouveau. Je réalise que, dans ma position accroupie, je dois lui révéler mes cuisses bien au-delà de la frontière de mes dims-up, et même mon petit shorty de dentelle noire. Pourtant, je ne bouge toujours pas, comme si, pour le remercier de m’avoir laissé profiter de sa nudité, je devais moi aussi lui révéler en partie mon corps. Un beau sourire éclaire son visage, et ses yeux reviennent ...
... se noyer dans les miens. J’y lis de la gratitude, de l’envie, du désir… Je sursaute en regardant ma montre. L’heure de la sortie de Téo est passée ! Alors, comme à regret, lentement, presque théâtralement, je me relève. Il me fait un petit signe de la main. Je cours vers l’entrée du centre. Téo, impatient, m’y attend. — Pourquoi es-tu toute rouge, maman ?— Euh… j’étais en retard, j’ai couru ! À plusieurs reprises, dans les jours et surtout les nuits qui ont suivi, les images de ces jeunes hommes intégralement nus m’assaillent, malgré moi, presque obsessives. Étonnamment, je cherche lequel parmi les nombreux sexes masculins que j’ai vus est celui du garçon qui m’a si longuement regardé ! À la fois frustrée et excitée, je n’arrive pas à échapper à ces troublants souvenirs. La semaine suivante, lorsque je vais chercher mon fils au centre sportif, j’évite soigneusement de contourner le bâtiment et de passer devant le soupirail du vice. Mais, en l’attendant près de l’accueil, dans le brouhaha de la foule qui rentre et sort, tout d’un coup, un visage en émerge. C’est lui, en survêtement ! Il fait deux pas vers moi, me fixe, me sourit. Honteuse, je fuis, recule, me précipite vers les toilettes pour m’y réfugier. Je ne retrouve mon calme qu’après un bon moment. Et Téo, surpris de me voir arriver derrière lui, me dit : — Tu étais où, maman ?— Euh… je suis allée me rafraîchir. De retour chez moi, je m’en veux de mon comportement. J’ai agi comme une collégienne ! Il doit avoir au moins ...