Voyage en Ovalie
Datte: 08/09/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
confession,
... dix ans de moins que moi, et je suis incapable d’affronter son beau regard, son charmant sourire… Même au cœur de mon adolescence, je ne me suis pas comportée ainsi. Et pourtant, comme beaucoup de filles, j’y ai vécu des périodes irrationnelles. Je médite longuement sur ma conduite ridicule, et finalement je prends la décision de retourner le mercredi suivant devant le fameux soupirail. Étrangement, je porte plus d’attention que d’habitude à ma tenue ce mercredi-là. Un maquillage un peu plus appuyé, une jupe assez courte, un joli corsage un brin transparent… J’arrive avec une bonne demi-heure d’avance, et me glisse furtivement vers mon observatoire après avoir pris soin de ne pas être remarquée. Déception, pas de lumière, personne dans les douches. Je me sens frustrée. Je fais une petite promenade dans le parc, je vois des grappes de sportifs regagner le centre. En m’approchant de mon observatoire, j’ai le cœur qui bat : la lumière est allumée et de la vapeur sort du vasistas entrouvert. Je m’accroupis, et ai droit à nouveau à mon ballet naturiste. J’ai beau me pencher, l’angle ne me permet pas de voir les visages, ils sont trop éloignés de l’ouverture. L’ambiance me paraît moins joyeuse que la fois précédente, je me dis qu’ils ont dû perdre le match aujourd’hui. Je me repais de toutes ces virilités qui tressautent. Je remarque que certaines sont semi-bandées, et que souvent les mains de leur propriétaire viennent les toucher, comme pour les flatter. Il y a un des joueurs, ...
... que je devine métis à la couleur de sa peau, qui me paraît particulièrement gâté par la nature. Son sexe a un volume impressionnant. Je frémis en l’imaginant excité. Tout d’un coup, je sursaute. Sur chaque épaule, j’ai une main qui s’est posée et qui me serre sans douceur. J’évite de crier mais essaie de me relever, il me maintient fermement accroupie. Je tourne la tête. Dans la pâle lueur des douches, je reconnais le jeune homme qui m’avait dévisagée la dernière fois. — Non, ne bouge pas, jolie madame. Tu es voyeuse ? Alors, profite de la vue de ces jeunes mâles qui t’excitent, semble-t-il. Il enfonce ses doigts presque méchamment dans mes clavicules pour m’obliger à rester immobile. J’essaie de maîtriser tant bien que mal mon souffle, ma poitrine se soulève malgré moi. Je constate que ma jupe s’est relevée, dévoilant une bonne partie de mes cuisses. Je l’implore : — Lâchez-moi, je dois retrouver mon fils. Ignorant ma prière, il colle ses genoux contre mon dos. Je suis immobilisée. Et, peu à peu, contre ma nuque, je sens croître un objet dur dont j’imagine facilement la nature. Ce contact est aussi troublant que la vue des jeunes éphèbes qui s’ébrouent sous mes yeux. Je suis dans un état second. J’ai des fourmis qui partent de ce sexe bandé contre mon crâne et descendent dans ma nuque, mes seins et plus bas. Une forme de courant électrique… — Je vous en prie, lâchez-moi, mon fils va m’attendre.— D’accord, mais à une condition : donne-moi ton numéro de portable ! Je soupire. Un ...