Les animaux de Priape (6) - Histoires de Sexe

Les animaux de Priape (6)

Aldéric en mettait un sacré coup et le singe n’était pas en reste. La scène était très chaude et j’avais le bout humide. "Amène-moi ta bite". Je fis aussitôt le désir de ma femme et m’agenouillai pour lui présenter le gland qu’elle suça aussitôt. Elle y mit beaucoup d’énergie et comme j’étais super-excité, je dus la prévenir : "Arrête, j’v’ais jouir". Mais, au contraire, elle accéléra et ma bite explosa dans sa bouche. J’y déchargeai tout mon foutre dans une débauche de cris et de jurons. Je me retirai et pris de la distance pour continuer de mater en m’asseyant. Le faune était presque totalement réanimé. Il ne restait que l’extrémité de ses cormes et de ses sabots à être encore pétrifiés. Quand à Méfistophallos, l’intégralité du sexe, toujours pendant, le pubis et le haut des cuisses donnaient des signes de vigueur. Aldéric, pendant ce temps, arrivait à son terme et je l’entendis gémir lorsque ses jets de sperme emplirent le cul de ma femme. Quand il se retira, elle ordonna au singe de la libérer puis elle s’allongea pour être prise en missionnaire. Il s’allongea dessus, la pénétra et se mit à la sauter violemment. Elle s’agrippait à son corps musculeux et parfois entourait le cul poilu du singe de ses jambes ou alors elle pliait les genoux en les ramenant vers elle. Elle lui prenait la tête ou lui serrait les épaules. Elle caressait son dos et l’encourageait : "Vas-y mon amour, baise -moi, j’veux sentir ta queue dans ma chatte. Grimpe-moi. C’est bon"! Le singe ...

... s’appliquait. De temps en temps, il lui boulottait les seins. Il lui roulait des pelles mémorables à bouche que veux-tu. Il se redressait, plaçait ses mains sous le bassin pour la soulever et l’enfoncer plus profondément encore avant de reprendre la position allongée. Alors il passait ses mains sous les épaules et, jouant des cuisses et du bassin ressortait la quasi intégralité de sa verge du vagin et l’y replongeait avec une vitesse et une force déconcertantes. Parfois, elle allongeait les mains et lui les siennes ils les rejoignaient et leurs doigts s’enlaçaient. Pour une fois je me sentis jaloux. J’eus l’impression qu’elle était avec un amant dont elle serait follement amoureuse et ils se comportaient comme tels. Il restèrent enlacés et déchainés un très long moment pendant lequel elle prit un pied fantastique. Il n’y avait pas à s’y tromper. Enfin, le singe jouit en se raidissant sur ses bras et elle l’accompagna presque simultanément. Il s’effondra sur elle et il se maintinrent enlacés un long moment, continuant à se caresser, à s’embrasser et elle à gémir sur le corps lourd du singe assouvi. Enfin, il se retira, sa bite entraînant dans son sillage un long filet blanc très visqueux. Puis il disparut. Clara était harassée par ces fougueuses étreintes. Elle prit un moment de repos pendant lequel Aldéric et Pacôme se mirent à son service pour lui servir une collation, après quoi elle suça la statue de Méfistophallos dont le bâton se raidissait alors que l’ensemble de la bête reprenait ...