Les animaux de Priape (6)
Datte: 11/10/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... avait redressé son corps et l’avait cambré puis il l’avait saisie par les épaules pour la ramener vers lui et l’empaler tout entière sur son membre. Quand elle se fut bien amusée ainsi, elle se remis en levrette pour bien se faire claquer le cul en ayant bien du mal à se maintenir sur se bras à cause de la magnitude du séisme sexuel qui la ravageait. Elle exulta dans un orgasme extraordinaire pendant que le cochon la remplissait de foutre qui fuitait en abondance depuis le con. Sans lui laisser le temps de se reposer, ce dont elle semblait avoir le plus grand besoin pourtant, il se mit à lui forcer la rondelle. Comme elle avait mouillé du cul et que la bite était enduite de sperme, ce gel naturel facilita la pénétration mais elle attendit de bien sentir la déchirure pour évaser davantage son fion afin qu’il épousât parfaitement le diamètre et la longueur du phallus porcin. Il s’était mis en bouledogue. L’énormité des couilles, tellement lourdes qu’elles se balançaient à peine, déroba la scène de l’enculade à mon regard lubrique. Je m’intéressai alors à nouveau aux deux statues. Elles avaient désormais retrouvé l’intégralité de leur couleurs; les vits, de plus en plus longs, formaient un angle droit avec le pubis, angle qui se refermait millimètres par millimètres vers le haut. L’œil s’agitait, les abdominaux se gonflaient et se dégonflaient au rythme de la respiration qui se faisait plus haletante. Dans quelques minutes, ils auraient retrouvé toute leur vitalité. Une autre ...
... partouze allait pouvoir commencer. Comme s’il avait deviné l’attente du faune et de Méfistophallos, le porc semblait se hâter. Les jets de foutre s’enchainaient et une avalanche de crème sortait du cul à chaque coup de piston dans un bruit de flaque, une odeur de semence et un épanchement de liquide blanc qui s’étendait en nappe sous le corps de ma femme. Enfin, dans un ultime grognement, le goret se vida complètement, se retirant pendant l’éjaculation en couvrant tout le dos de Clara d’un amoncèlement de grumeaux foutreux. Elle était épuisée mais eut encore la force de se mettre à genoux devant le verrat triomphant qui s’était planté debout devant son visage pour lui pomper le vit graisseux. Quand elle eut bien récuré toute la bite, ce qui fut long compte tenu de la grosseur du pieu et de l’abondance de foutre, dont elle recrachait une partie au fur et à mesure qu’elle léchait, elle s’effondra. Alors, complètement réveillés, les deux monstres descendirent de leur socle Le faune se plaça derrière elle, la saisit par les hanches et la souleva sans aucune résistance de sa part, comme s’il se fût agi d’une poupée de chiffon, pour mettre sa croupe à bonne hauteur... et il l’enfila aussitôt. De son côté, Méfistophallos s’approcha de son visage la saisit par les cheveux pour qu’elle soulève sa tête et ouvre sa bouche et il lui pissa à la gueule. Ce n’était pas une pisse ordinaire. On aurait presque dit une sorte de sirop. Sitôt qu’elle l’eut avalé, elle se redressa comme plus dopée ...