1. Les animaux de Priape (6)


    Datte: 11/10/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... des couleurs. Mais avant qu’elle ne fût totalement revigorée, ma femme se mit à quatre pattes, le cul en l’air entre les deux statues, sachant à l’évidence, par je ne sais quelle magie, ce qui l’attendait. Entra en scène, de façon tout à fait imprévue, un nouvel animal. Je m’attendais en effet à revoir les chevaux ou le taureau mais point. A la place se présentait un énorme porc. Comme la plupart des animaux qui se présentaient ici depuis notre première visite, il n’était pas tout à fait animal et présentait quelques apparences d’hommes. Aussi ne fûmes nous que très modérément surpris et nullement inquiet mais, au contraire très curieux et avides des nouvelles prouesses que cela promettait. Sa tête d’abord n’était pas complètement porcine ou, du moins ce n’était pas véritablement un cochon mais quelque chose qui y ressemblait en moins prononcé. Il avait le torse comme un homme et son cou était moins large que celui de ses congénères pour dessiner des épaules d’ailleurs très musculeuses, et il pouvait se dresser sur ses jambons comme moi sur mes jambes et agiter ses pattes avant en s’en servant comme de mains. Si ces coucougnettes étaient bien de la même remarquable opulence que celle d’un verrat champion de reproduction, sa bite était différente, très longue, sans gland mais avec un gros trou de pine et très arrondie au bout, elle ressemblait davantage à un énorme salami rose pâle qu’à un sexe d’homme ou d’animal . Il pouvait faire 1,80 m de la tête aux pieds, 1,30 environ ...
    ... au garrot et devait bien peser ses 200 kilos. La bête était massive et belle. Ma femme n’avait pas à hésiter sur ce qu’elle avait à faire. Les jambes bien écartées, le cul bien dressé en l’air, l’abricot apparent gonflé par l’excitation sexuelle, Clara lui offrait une cible de choix. Il vint donc la monter le plus naturellement du monde. Le diamètre colossal l’obligea à une certaine prudence au départ mais quand le vagin fut suffisamment domestiqué par le gros volume de chair il se mit à la matraquer sans délicatesse lui arrachant des cris qui résonnèrent sous la voûte comme rarement. Je m’étais rapproché au maximum pour ne rien perdre de la scène. Le porc suait à grosses gouttes répandant une bestiale odeur de rut qui nous envahissait. Sa masse et la violence de ses coups de bite projetaient à chaque fois la pauvre pute en avant mais elle ne s’en plaignait pas. Ses cris n’étaient que plaisir et orgasme. D’ailleurs, il me semblait qu’à chaque coup de pine, celle-ci s’enfonçait plus profondément et écartait davantage les chairs. En fait, je compris enfin que ma femme avait la même capacité à se transformer et à s’adapter aux monstres qui la pénétraient mais que, contrairement à la fois précédente où ce don lui avait été donné d’emblée, elle pouvait le contrôler elle-même pour mieux profiter de la grosseur des nœuds, et qu’elle s’y adapte progressivement pour faire varier et progresser son plaisir jusqu’à ce qu’elle désirait. Le cochon y prenait goût. Il s’était campé à genoux, ...