LE PAPILLON (2)
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... appuyer sur la zone avec détermination. Sur ses cuisses, une zone mouillée témoigne de son excitation, elles sont luisantes de mouille ou de transpiration. Sa main accélère alors qu’elle continue de pomper et de branler son amant. Le bruit de cette pine entrant et sortant de sa bouche ne fait qu’accentuer son état second. Elle n’est plus très loin, je le sens. Ma bite palpite au rythme de mon cœur qui bat. Tous deux semblent vouloir jaillir de leurs places respectives. Je l’entends gémir dans un son étouffé par ce pieu qui l’étrangle. Elle jouit une seconde fois …… Un long cri de plaisir explose dans notre suite nuptiale. L’homme tient ses deux mains au-dessus de sa tête, s’enfonçant au plus profond de sa gorge. L’orgasme est intense, presque douloureux. C’en est trop pour moi, ma bite se contracte et éjecte un long filet de jouissance sans même que j’ai à la toucher. Le jet s’écrase à deux mètres de moi. Un second jet voile ma vision, j’ai des étoiles plein les yeux. Mes jambes flageolent, et ne me supportent presque plus. Ma queue éjecte une quantité de sperme impressionnante. Je rejette la tête en arrière la bouche tordue de douleur un gémissement s’échappant de mes lèvres. Ils crient en simultané. Ils sont synchronisés sur leurs jouissances. L’homme retire ses mains de la tête de ma dulciné, il laisse ses bras glisser alors que ses mains caressent en descendant les joues de la pompeuse. Je baisse mon visage, haletant, essoufflé par l’effort, le cœur battant la chamade. ...
... Je l’ai vu, je ne peux qu’admettre ma défaite. Je les ai surpris en plein acte. La douleur m’envahit, le plaisir laisse place à l’angoisse et à un sentiment de soumission. Je n’ai rien fait et j’ai aimé ça, en témoignent les flaques de sperme devant moi. Je relève mon visage en direction du lit et me prépare à la confrontation. Le bellâtre relève également son visage me permettant de le voir pour la toute première fois. De voir ce visage qui hantera mes jours et mes nuits pour le restant de ma vie. Un seul rayon de soleil filtre directement dans mon champ de visions et vient m’éblouir. Je plisse les yeux pour apercevoir ses traits. Ce sont les miens. Un sourire carnassier lui/me barre le visage…une goutte de sueur glisse le long de ses/mes tempes, sa/ma queue toujours dans la main de ma/sa femme. Mes yeux s’écarquillent alors que je cherche à comprendre. Ma respiration se fait encore plus courte, mon cœur redémarre et tambourine dans ma poitrine. Je tente de reculer encore plus mais le mur me fait barrage. Je pousse de plus en plus fort alors que le mur se ramollit. Il devient sable mouvant, me happant, m’enlisant en lui. Mes bras sont collés à la masse visqueuse, m’emprisonnant. Chaque mouvement accentue ma prise, je suis fait comme un rat. Mon/son visage m’observe toujours alors que je crie en me débattant. Un ricanement se fait entendre, le bellâtre/Je rie à plein poumon. sogswweh Le mur me colle, m’aspire, ma tête s’enfonce. Ma/sa femme, elle aussi, accompagne le bellâtre ...