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La Parabole du combiné-gaine
Datte: 13/10/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... était une compression intempestive de la poitrine, ce qui, dans les circonstances, n'était en rien fâcheux. Les bonnets, qui offraient la seule concession à un espoir de transparence, était tendus à l'exagération. Les tétons de Christine se dessinaient ainsi parfaitement au croisement des fines bandes d'armatures opaques qui ne réussissaient qu'à rendre plus visibles l'état de trouble habitant les deux globes laiteux. Le regard masculin, empreint de convoitise, descendit vers le bas de la gaine qui ne découvrait que la pointe du triangle d'une petite culotte immaculée. C'était là que résidait la faille d'une bastille imprenable depuis deux décennies. Longtemps l'oeil de Paul Robert fixa cet endroit fait pour accueillir le cheval de Troie d'une victoire attendue. Le regard du conquérant ne rencontrait aucune opposition dans ses investigations. Christine l'avait accepté. Elle était maintenant prête à l'immolation de ses démons qui l'avaient contrainte à une si longue abstinence. La patience de Paul accélérait diaboliquement le processus qui la plongeait dans une torpeur brûlante. Il se pencha sur son visage et posa ses lèvres sur sa bouche dans un effleurement si délicat qu'elle en baissa les paupières pour mieux en percevoir la profondeur. Puis elle sentit le léger souffle se retirer et attendit, les yeux clos. Le grincement des ressorts du vieux sommier lui indiqua qu'il changeait de position et elle eut vite la réponse quand la bouche vint poser le même baiser sur le ...
... triangle aussi fragile que prometteur. Il sentit sous ses lèvres la mollesse soyeuse du pubis de Christine, à travers le tissu doublé du bas de la petite culotte. Il s'enivrait de l'odeur complaisante qui se dégageait, tel un philtre irrésistible, des abysses intimes de la femme. Elle souleva son bassin sous l'emprise d'un désir si obsédant qu'elle ne pouvait plus le contenir pour elle seule dans le creuset bouillant de ses chairs intimes. Alors, il saisit la belle en haut des cuisses, où ses doigts épais s'enfoncèrent, pour les tenir serrées l'une contre l'autre, comme s'il craignait qu'on lui vole les effluves dont il se sentait le propriétaire jaloux. Sa bouche et son nez se collèrent au tissus léger. Il s'enivrait de l'odeur forte de sa vulve où une source régulière déversait la cyprine qui coulait sans retenue, accompagnée de petits gémissements saccadés qui l'encourageait à poursuivre cette pression. Les narines de Paul puisaient dans les effluves et appuyaient sur le coussin de poils tandis que sa langue lapait le tissu blanc. Sa salive enduisait le dessus de la culotte tandis que la liqueur intime venait imbiber le dessous dans une confluence complice. Christine devenait folle de plaisir. Son clitoris bourgeonnait tandis que sa corolle était béante sous l'activité brouillonne et terriblement excitante de la bouche de l'homme. L'affairement animal et désordonné, avec le vibrato de violon désaccordé. Elle se laissa brouter la chatte, sans la moindre lassitude, à travers sa ...