La maîtresse vierge
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
bizarre,
vacances,
amour,
pied,
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Masturbation
intermast,
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... heure de la soirée, il gara sans difficulté sa voiture, et grimpa les quelques volées d’escaliers jusqu’à la porte de Béatrice. Il reprit rapidement son souffle et pressa le bouton de la sonnette. À peine la première salve eût retenti, que le déclic de la gâche dans la serrure se fit entendre, libérant la porte qui s’entrebâilla légèrement. Il ne se rappelait pas de la présence d’une gâche électrique, aussi, légèrement surpris, il poussa avec précautions la lourde porte. Dans la pénombre, légèrement en retrait de la porte, Béatrice se tenait, droite, absolument nue dans ses sabots joints, les mains cachant complètement son visage. Il resta un moment interdit, l’observa tandis que ses yeux s’accoutumaient à la faible lumière. Il avança silencieusement, tira derrière lui la porte qui se crocheta dans l’élan. Leur face à face dura une éternité. Elle, serrant les dents pour ne pas trembler de froid et ne pas avouer sa faiblesse, lui, sous le charme d’une beauté offerte aussi gracieusement voulant prolonger l’instant irréel. Il fit un pas, et tourna lentement autour d’elle. Il la caressa du regard et si intensément qu’elle sentait un courant de chaleur lui caresser les épaules ; ou bien était-ce ses mains qui la frôlaient. Encouragée par la parade de son amant, Béatrice rassembla son énergie et se figea autant que peuvent l’être les statues grecques. Depuis combien de temps se tenait-elle ainsi nue derrière cette porte ? Daniel ne cherchait moins à répondre à cette question qu’à ...
... imaginer un jeu érotique à la mesure de cette attente. Le corps totalement offert de sa partenaire était un message de confiance absolue : non il ne la décevrait pas et serait son compagnon sur la route initiatique sur laquelle elle s’était engagée. Sur la pointe des pieds, il traversa le couloir, pénétra dans la salle de bain et se déshabilla entièrement, se couvrit du peignoir et chaussa les sandales qui lui étaient réservés. Au bout du couloir, Béatrice était toujours immobile et il put l’observer à loisir. Lui intimer l’ordre de ne pas bouger aurait été superflu et maladroit. Béatrice n’avait certainement pas l’intention de bouger pour autre chose que du plaisir, un plaisir aussi fort que les alcools qu’on sert à la campagne. Aussi silencieusement qu’il put, Daniel se rapprocha de sa partenaire statufiée. Pouvait-il imaginer la quantité d’adrénaline qui fouettait le sang de sa partenaire, à chaque fois que la semelle dure faisait grincer le plancher. À présent Béatrice pouvait entendre le souffle même de son partenaire ; il fit glisser son corps contre le sien s’abstenant de la caresser avec les mains. Elle sentit son poil sur son ventre, sa verge raidie le long de ses cuisses, son ventre contre le sien. Il la provoquait dans un corps à corps immobile et aveugle. Il se planta derrière elle et la bouscula avec une savante retenue pour la déséquilibrer. Elle ne fléchit pas les genoux et n’écarta pas les bras. Il recommença la manœuvre avec régularité : sa verge l’atteignait ...