La maîtresse vierge
Datte: 13/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ffh,
bizarre,
vacances,
amour,
pied,
chaussures,
Masturbation
intermast,
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préservati,
pénétratio,
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... au sommet des cuisses et glissait sur le bas de son dos, son bassin frappait ses fesses puis son torse venait s’appliquer sur son dos. Le gland de Daniel avait commencé à laisser une trace humide au bas du dos de sa partenaire. Il se pencha par-dessus son épaule et lui murmura au plus près de l’oreille : — Je vais te forcer, d’accord ? Béatrice resta glacée, interdite pendant un instant. Oui elle désirait qu’il la mette au supplice, oui elle était sa chose, oui elle lui abandonnait son corps. Elle lui aurait crié si elle ne s’était pas figée dans son immobilisme : mais il avait compris ce qu’elle attendait et en fut comblé. Aussi s’autorisa-t-elle une légère inclination de la tête, ses mains cachant toujours des yeux d’où perlaient quelques larmes de bonheur. — C’est bien, tu es une bonne fille… Béatrice sentait sa tête lui tourner. « Et s’il allait me faire du mal ? » pensa-t-elle soudainement avec effroi. En réaction à cette sourde pensée, elle croisa les genoux et serra encore plus fort les avant-bras sur ses seins. Quelle ne fut pas sa surprise de sentir les petits coups de langue de Daniel l’agacer en tous points de son corps ! Alors que son corps était littéralement constellé de petites tâches humides, il ajouta : — Relève les coudes ! Elle s’exécuta lentement tandis qu’approchant le visage de ses seins, il entreprit d’en happer les corolles. Béatrice redoutait ce type de caresses qui l’agaçaient plus qu’elles ne la chatouillaient. Elle résista à la tentation de ...
... baisser les coudes et dut faire un énorme effort de concentration pour rester immobile. Effort insuffisant pour résister à l’agression de la pointe de ses seins qu’elle couvrit instinctivement de ses mains. Découvrant son visage, elle leva un regard étonné sur son partenaire. Elle ne put réprimer un sourire pétillant tant elle était heureuse de l’avoir rien que pour elle, quand bien même le jeu auquel il se livrait n’était plus un enfantillage et lui inspirait un peu d’inquiétude. D’un air moqueur qui cachait à peine une pointe de sadisme, il lui annonça : — Tu as bougé, je vais te punir. Penche-toi ! Juchée sur ses sabots, Béatrice eut un peu de mal à stabiliser sa position. — Écarte les cuisses ! Mieux que ça, et baisse les yeux ! ajouta-t-il tandis que ses mains prenaient appui sur ses mollets. Il tourna autour de sa partenaire, goûtant le spectacle de la cambrure des reins de Béatrice, le léger ballottement de ses seins en suspension. S’arrêtant derrière elle, il entreprit de lui fouiller le vagin à deux doigts. Béatrice serra les dents tenta rapidement de rétablir son équilibre précaire et résister à la rudesse de l’agression. Béatrice mouillait abondamment et Daniel fit glisser ses doigts luisants vers la corolle de l’anus de sa partenaire. Béatrice poussa un petit cri où se mêlaient la surprise, le refus et l’excitation : — Nonnn, nonnn ! gémit-elle tandis que Daniel caressait délicatement le sillon entrouvert.— Mais si ! répondit-il avec une surprenante détermination, comme ...