La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... mais ils l’acceptèrent presque sans hésiter. Toutefois, afin d’éviter une catastrophe toujours possible, j’avais insisté pour établir les règles du jeu. — Vous venez sans armes, et vous vous comportez correctement. Pas la peine d’être désagréables, vous demandez, et si on a, vous aurez. Et on ne picole pas jusqu’à tomber sous la table. C’est clair ? ---oooOooo--- J’avais eu un accord de principe, et c’est donc plutôt guilleret que je rentrais à la maison. Mais en franchissant le seuil, quelle ne fut pas ma surprise d’entendre des rires de femmes qui venaient de la « salle de bains » ! La surprise fut encore bien plus grande lorsque j’aperçus dans ma baignoire deux femmes que certes je connaissais, mais qui n’avaient en principe rien à faire chez moi, et encore moins dans mon bain. Pétra, elle, restait en dehors du bac et savonnait vigoureusement les cheveux d’une des deux femmes. — Salut ! Je dérange ? lançai-je, vaguement inquiet. Ce fut Pétra qui parla la première. — Jean-Luc, je te présente deux amies de longue date. Elles sont veuves comme moi, et j’ai voulu leur faire profiter de la baignoire. Elles n’ont pas encore bien l’habitude de se servir du savon… C’est ce que je voyais. Si la petite brune semblait quasiment aussi propre que Pétra, il n’en était pas de même pour la grande blonde dont les cheveux clairs semblaient réfractaires à toute forme de nettoyage – de récurage, devrais-je dire. Comme je m’apprêtai à ressortir de la maison, celle qui était désormais ma ...
... compagne me rappela. — Tu veux me donner un coup de main ? C’est pas des cheveux, c’est du crin ! La demande me parut particulièrement surprenante. Même de nos jours, où les mœurs sont quand même nettement plus relâchées qu’à cette époque, il est assez rare que l’on invite un homme dans une salle de bains où deux femmes sont en train de se livrer à leurs ablutions. Après un moment d’hésitation, j’entrai, et comme je m’y attendais, les deux filles dans le bain couvrirent immédiatement leurs seins, la seule chose de leur corps – hormis la tête – qui dépassait de l’eau. — Ah non, les filles ! s’insurgea Pétra. Si vous voulez que je vous montre ce dont on a parlé, il ne s’agit pas de faire les effarouchées… Elles échangèrent quelques regards, puis se levèrent lentement, essayant tant bien que mal de cacher leurs charmes autant qu’elles le pouvaient. Elles avaient toutes les deux les yeux baissés et, pour la blonde tout du moins, le rouge au front. Le plus gêné des quatre était peut-être moi. — Non, ne les embête pas, je m’en vais. Je ne savais pas ce que mijotait Pétra, mais il était évident qu’elles n’allaient pas se montrer nues comme si de rien n’était. Encore une fois, même de nos jours, les filles qui ne manifestent aucun trouble à se montrer à poil devant un inconnu ne sont pas légion, sauf peut-être quand elles en font leur métier et que cela est tarifé… Je tournai les talons. — Non, non, ne partez pas, reprit l’une des filles. On veut vraiment apprendre… Seulement voilà, je ...