La sellette de Tannhäuser
Datte: 14/10/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
fffh,
fbi,
hplusag,
frousses,
religion,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
historique,
délire,
fantastiqu,
... n’avais aucune idée de ce que je faisais là et encore moins de ce qu’elles voulaient apprendre, justement ! Je m’apprêtai à poser la question quand Pétra me fit signe de me taire et, d’une main, elle attrapa celle de la brune tandis que de l’autre elle lui relevait le menton. — Silvia, montre à Jean-Luc comme tu es belle. Comme un automate, Silvia retira alors son autre main de son sexe, et elle m’apparut cette fois sans plus rien cacher de son corps délicat. Elle n’était pas plus grande que Pétra, mais légèrement plus ronde. Ses seins étaient plus volumineux mais apparemment très fermes, son petit ventre était légèrement rebondi. Quant à sa toison, elle était aussi clairsemée que celle de mon amie, et ne cachait pas vraiment deux charmantes lèvres aussi roses qu’hermétiquement closes. — Allez, à toi, Claudia. Celle-ci eut aussi un moment de réticence puis, regardant la brune, à son tour retira doucement ses mains de ses charmes. Elle était plus grande de dix bons centimètres et franchement fine, avec des hanches à peine marquées, un ventre cette fois totalement plat, de très petits seins et une allure encore plus gaminesque que celle de Pétra. Pourtant, je le savais, elles avaient toutes deux dépassé les vingt ans. — Elles sont mignonnes, non ? Je ne me voyais pas dire autre chose. Mais cela ne m’expliquait pas pour autant ce que je faisais ici. — En effet… Et de quoi leur as-tu parlé, au juste ? demandai-je discrètement.— Tu verras tout à l’heure. En attendant, tiens, ...
... aide-moi à laver les cheveux de Claudia… Et je me retrouvais le plus simplement du monde en train d’essayer de retirer l’épaisse couche de crasse, accumulée depuis des années, qui recouvrait les cheveux de la blonde. À chaque nouveau passage, ses cheveux devenaient un peu plus clairs, si bien que quand j’eus fini, nous avions affaire à une vraie blonde presque platine. Je n’aurais jamais imaginé que sa couleur naturelle puisse être si dorée, d’autant que la fourrure de son pubis était nettement plus foncée. Cela faisait déjà un petit moment que Silvia était sortie de l’eau. Elle s’était assise, toujours nue, au coin du feu et profitait tranquillement de la chaleur de celui-ci, un pied sur le côté posé sur le panier à bûches et l’autre sur le rebord de terre cuite de l’âtre. En clair, elle avait les jambes écartées, et moi j’avais une vue imprenable sur son sexe béant, aux jolies petites lèvres roses tout juste couvertes d’un fin duvet presque noir, et il me semblait bien – mais peut-être était-ce mon imagination – qu’une goutte de rosée intime y perlait doucement. Je fis mine de ne pas m’en apercevoir, et la laissai à sa douce rêverie. Pendant ce temps, Claudia était venue nous rejoindre. Elle aussi avait gardé la tenue d’Ève, et il me semblait qu’en séchant, les poils de sa douce fourrure s’éclaircissaient ; ils étaient désormais presque aussi clairs que ses cheveux. Leur pudeur à toutes les deux semblait s’être envolée, ce qui n’était pas sans me surprendre, mais ce n’était rien ...