Chroniques immortelles (32)
Datte: 19/10/2019,
Catégories:
Lesbienne
... Christine, tu peux choisir un de ces hommes pour t’amuser avec lui, déclare t-elle calmement. — Mais, je ne suis pas une des votre ! dis-je abasourdie. — Tu es notre invitée d’honneur, tu le peux, c’est ton droit, reprend-elle. Bien entendu, tout le monde a entendu, et je vois les sourires amusés des femmes qui me regardent. Elles se demandent si l’occidentale osera accepter la proposition, et surtout comment je vais m’en tirer ! Altynaï se penche vers moi. — Ce ne serait pas très poli de décliner cette offre, me souffle t-elle à l’oreille en rigolant. Mais je n’ai pas envie de décliner ! Tout me pousse à accepter. C’est un défi et je n’ai pas l’habitude de me dégonfler. Et puis j’en ai envie car les affrontements de ces superbes mâles m’ont furieusement excitée ! Ça fait un moment que j’ai l’entrejambe humide ! — Alors je choisis le troisième en partant de la gauche au second rang, dis-je la bouche gourmande. — Lui ? Il fait partie du second groupe, s’interroge Nastya. Pourquoi ce choix ? — Il n’a perdu qu’au premier tour contre le futur vainqueur, le combat a été long et intense, il s’est battu avec acharnement et il a gagné tous les autres ensuite. Il mérite bien mieux que son classement final. Et puis… je le trouve très beau ! — Alors il est à toi. Va. Je me suis levée et vais droit vers l’homme surpris. Il ne s’attendait pas à cela. Des murmures admiratifs accompagnent mes pas. Mais une rumeur suit immédiatement. J’entends des pas et vois Ayala avec surprise derrière ...
... moi. — Tu as raison, me dit-elle. Il est très séduisant. Veux-tu que nous le partagions ensemble ? — Euh… oui, bien sur, dis-je quelque peu décontenancée. Avec plaisir. Ayala me l’avait expliqué avant. Donc, c’est normal. Nous prenons par la main l’homme ravi qui n’en demandait pas autant ! Nous quittons l’arène et allons dans une salle annexe ou ont été posées un peu partout fourrures et coussins. — Et si j’avais voulu le garder pour moi toute seule ? Dis-je par curiosité. — Eh bien nous nous serions battues pour le posséder exclusivement. — Oh putain ! Là, elle m’a bien eue… Mais pour l’heure, nul affrontement à venir. Au contraire, j’adore faire l’amour en groupe. L’homme ravi s’est assis, a retiré son boléro, ne gardant que sa culotte. Il est magnifique, une musculature impressionnante, Schwarzenegger au début de sa carrière si vous voyez le genre. Ayala a retiré son manteau est sa tunique, se met torse nu, ne gardant que son pantalon. J’en fait autant après avoir retiré mon anorak et mon pull. Je l’invite à retirer mon soutien-gorge. Nous nous sommes assises de part et d’autre de lui et nous caressons son torse, ses bras, ses jambes musclées, mais alors musclées ! Il transpire encore un peu et je m’enivre de l’odeur du mâle à la sortie de son combat. Et lui commence à nous rendre nos caresses en faisant courir ses mains sur nos corps. Ayala l’a enfourché, s’assoit sur ses jambes. Je me suis collée contre lui, mon torse contre son dos, lui caressant les épaules, le thorax. ...