1. L'hopital psychiatre (1)


    Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... suis chanceuse car certaines bites donnent beaucoup plus de sperme que d’autre. Par contre, j’ai remarqué qu’elles étaient plutôt petites. Le reste de la journée passe très lentement. En fait, je n’ai aucune idée du temps qui s’écoule. J’essaie de me divertir comme je peux, je compte le nombre d’imperfections sur les murs. Le nombre de néons au plafond. C’est l’ennuie total. A un moment la soif vient, je cogne donc à la porte. L’infirmier ouvre la porte. — Excusez-moi mais j’ai soif. Sans dire un mot il m’amène un verre d’eau et la porte à mes lèvres. Ça me fait un bien fou. Je crois que le sperme dessèche. La porte se referme et je suis à nouveau seule. Quelques temps plus tard j’ai envie d’uriner. Je me mets sur les toilettes. J’ai complétement oublié la culotte avec le gode dans ma chatte et celui dans mon cul. En poussant pour faire pipi, ma chatte semble vouloir expulser les godes mais la culotte les maintient fermement dans mes orifices. La sensation n’est pas désagréable. Au contraire, je commence à jouer avec. J’alterne contraction et poussée. Les sensations sont là mais très minimes. Je m’assois sur le lit, je sens encore plus les godes contre mes chairs. J’ai envie de plus. Je fais le tour de la pièce et réfléchis. Bingo ! La barre du lit métallique. Je monte dessus à califourchon. J’écrase de tout mon poids ma chatte sur la barre, la sensation est incroyable. Plus j’appuie fort, plus les godes s’enfoncent, lorsque je relâche, les godes sont sur le point de sortir ...
    ... mais la culotte les tiens en place. J’adore. Je m’active comme une folle sur la barre. Le lit grince de plus en plus et laisse écharper de bruyants bruits de métal. J’explose de jouissance, et me laisse tomber sur le lit. Et ben ! Plus tard, à nouveau je suce des bites. De toute façon il n’y a rien d’autre à faire. Autant passer le temps agréablement. A un moment c’est une bite noire qui se présente. Je suis très étonnée, je laisse même échapper un petit cri. C’est une belle bête. Déjà flasque la bite doit faire 12/13 cm, et une bonne circonférence. Elle est chaude et douce, je la frotte contre mon visage. J’ai envie de la toucher mais avec la camisole je ne peux pas. Je finis par la mettre dans ma bouche. Incroyable, elle la remplit déjà. Contrairement aux autres bites, cette fois ci je prends mon temps, je la suce très lentement. Je fais durer le plaisir. Il s’écoule peut être 15 ou 20 minutes avant que le flot de sperme me remplisse la bouche. J’essaie de ne pas en perdre une goute. Une nouvelle bite se présente, même dimension que la précédente. Je lui réserve le même traitement. Lentement, très lentement et avec beaucoup d’application je m’amuse à frustrer ces bites. Trop appliqué dans ma noble tache je perds le compte. Je me demande d’ou viennent toutes ces bites. Un truc m’intrigue aussi, à mesure que les bites défilent, elles sont de plus en plus longues et épaisses. Il n’y a quasiment plus que des bites noires. Finalement je finis par tomber de sommeil et me laisse ...
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