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L'hopital psychiatre (1)
Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... tomber sur le lit, complètement repus. Je fais plein de rêves bizarres. Mais à mon réveil je suis toujours dans la même pièce, toujours dans cette camisole. Impossible de dire l’heure qu’il est. Encore ensommeillée je me présente devant le petit trou qui est devenu mon meilleur passe temps. A ma grande surprise, une bite se présente. Elle est gigantesque. Et encore même ce mot n’est pas assez pour la décrire. Même en écartant ma bouche à son maximum, seul le gland rentre, je le suce comme une sucette, et très vite il vient. Ce qui me convient parce que franchement la taille est tellement démesuré que j’en ai mal à la bouche. Je décide de m’arrêter la. Je m’assois sur mon lit. On dirait que les godes ne font plus qu’un avec mon intimité. Je ne les sens plus vraiment. Finalement le médecin avait raison, je m’y suis habitué. En parlant du médecin, justement la porte s’ouvre, et il apparaît. — Bonjour Clémence, comment s’est passée votre nuit ? — Qu’elle heure est-il ? — Hum…environ 3h. — Du matin ? — Non de l’après midi. — Mais ca fait combien de temps que je suis ici ? — 24h Je suis abasourdie. Je n’aurai jamais pensé. 12h ok mais pas 24h. — Et oui, dit le médecin, le temps passe vite quand on s’amuse, n’est ce pas. Venez avec moi, à présent, vous avez bien mérité une douche. — Et voici. Il me désigne une pièce carrée avec un jet de douche, semblable aux douches des vestiaires de sports. — Un infirmier va venir vous retirer la camisole, par contre, vous devez garder la ...
... culotte encore un peu. C’est l’infirmier qui va vous laver et vous l’enlèvera. Vous avez interdiction de le faire. Compris ? J’hoche la tête. L’infirmier, le même qui est venu me chercher au poste de police la veille, sans dire un mot me libère de ma camisole. Ça me fait du bien. J’ai envie de toucher ma peau quelque peu indolore, mais l’infirmier fait non de la tête. Je me retiens. Il me lave contentieusement. Les seins, les aisselles, tout y passe. Pour me laver l’entre jambe, il me fit signe avec ses mains d’écarter les jambes. Puis il me passe du savon et de l’eau sur le latex. Pas sur que ça lave grand chose. Le salaud appuie sur les godes, je les sens à nouveau en moi. Il gonfle même le gode anal puis donne des petites tapes dessus. Je pousse de petits gémissements. Je tourne la tête pour le regarder, il a un petit sourire au coin des lèvres. Puis il commence à tirer sur le haut de la culotte autour de ma taille. ça y est, il va enfin me l’enlever. Doucement il l’a retire. Les deux godes sortent quasiment en même temps en m’arrachant une petite grimace. La sensation n’est pas du tout agréable. Je ne suis plus vraiment mouillée. Une fois la culotte complétement retiré, il passe du savon sur mon intimité. Il est très doux. Pourtant mon clitoris est quand même douloureux. Il est rouge vif et pas mal gonflé. Il me tend alors une serviette que je noue autour de ma poitrine. — Venez C’est la première fois que j’entends sa voix. Seul son collègue m’avait parlé au commissariat pour ...