L'hopital psychiatre (1) - Histoires de Sexe

L'hopital psychiatre (1)

... votre expertise psychiatrique, nous avons posé un diagnostique. Vous êtes atteinte de nymphomanie aigue. Nous avons décidé de prolonger votre séjour avec nous jusqu’à la prochaine évaluation afin de mettre en place un traitement. — Mais je ne comprends pas… L’homme ne fait pas attention à ma remarque et continue. — Puisqu’il faut traiter le mal par le mal, vous logerez dans l’aile D de l’hopital. En vertu de la loi sur la protection des personnes, vous ne pourrez plus répondre de vous même et serez soumise aux protocoles médicaux nécessaires à votre guérison. Bien sur votre consentement aux rapports sexuels reste de mise. Si vous vous y opposez nous respecterons votre choix. A dans trois mois mademoiselle. Cas suivant. L’infirmière me raccompagne déjà dehors. J’ai a peine le temps de protester, je suis sous le choque. Nous traversons une grande partie de l’hopital, jusuqu’a l’aile D. — Est ce que je peux appeler mes parents ? — Ils sont déjà prévenus, ils viendront vous voir en fin de semaine, pendant les horaires de visites. — Qu’est ce qui va se passer maintenant ? — A vous de me le dire. — L’aile D qu’est ce que c’est ? L’infirmière s’arrête et me regarde. — C’est l’aile réservée aux patients atteints de désordre sexuels. — Comme moi ? Il va y avoir d’autres filles ? Elle ricane. — Non vous, vous êtes un cas très spécial. Une première même dans cet hôpital. L’aile D c’est uniquement des hommes, internés à cause de leur addiction au sexe. Vous allez leur servir de vide ...

... couilles, et croyez moi elle sont bien pleine. Pour certain ça fait deux ans qu’ils n’ont pas vu de femme. Nous leur avons retiré leur cage à bite ce matin même et leur avons annoncé votre venue. Je vous laisse imaginer… Mais vous aimez ça vous faire dérouiller, hein ? Je déglutis — Comb…com…Combien sont-ils ? — Hum, 24 pour l’instant. Rentrez L’aile D ressemble à un grand baisodrôme. Il n’y a qu’une seule et immense pièce. Au milieu des tables, sur la gauche des matelas posés à même le sol, et sur la droite des douches et toilettes ouvertes. Il y a zéro recoins, zéro intimité. Dans un coin il y a un bureau fermé avec deux infirmiers. Lorsque nous entrons, le bruit s’arrête et tous les regards sont tournés vers moi. J’ai l’impression d’être face à une meute de loup. Un des deux infirmiers sort et vient vers nous. — Bonjour Clémence, bienvenu parmi nous. Pas la peine de vous faire visiter hein. L’infirmière en chef rigole. — Bon je vous laisse, Clémence soyez sage. L’infirmier rentre dans son bureau et me laisse seule face à ses 24 paires d’yeux qui me fixent. Je ne me sens vraiment pas à l’aise. J’ai l’impression d’être un bout de viande. Ils se rapprochent de plus en plus de moi. Certains ont déjà la bite dehors et se branle vigoureusement. Deux gars m’attrapent et me porte jusqu’à une table ou ils m’allongent. J’ai à peine le temps de protester que j’ai une bite en bouche et une autre qui me fourre la chatte à sec. Mon dieu, ses hommes sont vraiment en chien ! Je ne peux même ...