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L'hopital psychiatre (1)
Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... un arc. Il fait nuit mais je distingue très bien son membre, bien veineux et son gland rosacé. Il place son gland à l’entrée de ma chatte et pousse doucement. Je me sens tiraillée. — Aie, attention. — Ne t’inquiète pas, répond Medhi. Il continue de pousser mais j’ai mal. — Non ta bite est trop grosse. J’essaie de refermer les jambes mais Max et Franck me les tiennent fermement. — Détends-toi dit Medhi Ce que j’essaie de faire. J’ai vraiment envie qu’il me pénètre mais en même temps sa bite est trop grosse pour ma chatte. Il continue de pousser lentement, ça tire un peu, je sens comme un déchirement et pousse un petit cri. — ça y est le gland est rentré, dit-il. Il pousse un peu plus, et sa queue lentement perce mon intimité. La douleur s’en va très rapidement. Bientôt je sens son membre remplir toute mon intimité. Il n’a pas rentré toute sa queue, en même temps il n’y a pas de place je crois. Je sens ma chatte épouser parfaitement son membre. Il commence à donner des vas et viens lent mais puissant. Je gémis. Il sait y faire le salaud. Personne ne m’a jamais pénétré comme ça. Les garçons avec qui j’ai couché me pénétrait rapidement et éjaculait rapidement aussi. On dirait que Medhi prend son temps. Il joue avec moi et j’aime ça. Pendant cinq minutes il me pénètre ainsi puis il accélère la cadence et se couche sur moi. Je suis ivre de plaisir. Il continue d’accélérer. Je sens la jouissance monter. Tout à coups, on entend quelqu’un crier pas loin. Je suis à moitié dans les ...
... vapes alors je ne comprends pas vraiment la situation. Les garçons oui. Medhi sort d’un coup de ma chatte, Max et Franck me lâchent les jambes et tous les trois s’enfuient en courant, en me laissant seule coucher à terre. La voix se rapproche suivit d’un faisceau de lumière qui m’éblouit. Je ne bouge pas. — ça va mademoiselle ? La voix se rapproche. — Qu’est ce que ? dit la voie. Est ce que vous avez été victime d’agression ? — Hein ? Non non je… Et là je le vois, c’est un policier, avec une torche dans une main et une matraque dans l’autre. Je prends alors conscience de ma position, la chatte béante face à lui qui ne rate pas une miette du tableau. — Finis moi, dis-je. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça. Peut-être parce que je suis frustrée que Medhi m’est laissé en plan comme ça à deux doigts de l’orgasme. — Quoi ? Qu’est ce que vous avez dit mademoiselle ? — Enfonce moi ta matraque. Le policier ne semble pas comprendre. Je me fais plus insistante — Ta matraque là, met la moi dans la chatte, dépêche toi ! Le policier jette un œil autour de nous. Personne. Il se mets à genoux et m’enfonce sa matraque d’un ou deux centimètres dans la chatte. — Plus loin ! Il s’exécute. Il me gode la chatte avec sa matraque. Le plaisir reprend le dessus. Je tortille du bassin. J’ai envi de sa queue. — Baise moi ! — Hein ? Non ! — T‘es une tapette ou quoi ? — Et dis donc, respectez moi, je suis un policier. — Ah oui, alors vas y baise moi. Mets moi ta queue au fond de ma chatte. Il ne se fait pas ...