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L'hopital psychiatre (1)
Datte: 19/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe
... prier et sort sa queue. Il bande ce salaud. Il me fourre sa queue dans ma minette et me démonte. Mais je n’arrive pas à partir. — Attends, attends, dis-je. Je vais me retourner. Il se retire. Je me mets en levrette, toujours les mains dans le dos. Il me laboure à nouveau. — Ta matraque ! — Quoi ? Dit-il en s’arrêtant. — Ne t’arrête pas ! — Excuse moi, dis t-il en reprenant. — Ta matraque mets la moi dans le cul. — Euh tu es sure ? — Oui vas y ! Il crache sur ma rondelle. Je plis mon bassin de sorte de lui offrir toute ma croupe. Je sens quelque chose de dur et froid forcer mon anus. Il résiste à peine. Je sens sa queue et sa matraque me remplir entièrement. La sensation est incomparable. Je m’étais déjà godé l’anus mais toujours seule. Si il y a bien un plaisir que je recommande à toutes les femmes c’est bien celui ci. Se sentir tiraillé, entièrement rempli. Il accélère la cadence. Je sens ses couilles taper de toutes ses forces contre ma chatte. Je jouis comme jamais je n’ai jouis. Lui continue de me labourer pendant une minute à peine et éjacule en moi. Il se retire et récupère sa matraque. Je sens son sperme sortir de mon trou. Je suis sur un petit nuage. — allé debout, me dit-il en tirant par le serflex pour m’aider à me relever. Il me passe les menottes, des vrais cette fois, autour des poignées. Je ne comprends pas. — Mais qu’est ce que tu fais ? — Hé ho, je ne t’ai pas autorisé à me tutoyer. Allé avance. — Mais ou on va ? — Tu la fermes, dit-il, en m’attrapant le ...
... visage. On va au poste. — Mais pourquoi ? Il me traine et j’avance, contrainte. Je sens son sperme dégouliner entre mes cuisses. Je n’ai même pas mon string. Je tente de le chercher des yeux, mais il se fait plus pressant. — Allé monte la dedans. Il ouvre la porte d’une voiture de police, la sienne je suppose. Je m’assois à l’arrière. Il roule à peine trois minutes et se gare devant le commissariat. Mince, ce n’est pas une blague il m’emmène vraiment au commissariat. Je ne comprends pas ce qu’il se passe. Et surtout je commence à prendre peur. A l’intérieur, d’autres policiers sont présents. Au début je suis un peu rassuré, jusqu’à ce que je me rende compte de ma tenue et des traces de spermes bien visibles sur mes cuisses nues. Il me récite mes droits et me dit que tout ce que je dis pourra être retenu contre moi. J’ai l’impression d’être dans un film. Puis il prend des photos de moi. J’ai honte. Et enfin me mets dans une cellule seule, qui pue la pisse. Je n’ai aucune notion du temps. J’ai envi de faire pipi mais personne ne vient malgré mes appels insistant. A un moment donné ne pouvant plus me retenir je pisse à terre dans un coin. Au moins sans string c’est plus facile. J’ai honte de moi. La nuit passe et je finis par m’endormir dans un coin de la cellule. Je me réveille en sursaut quand quelqu’un ouvre le verrou de la cellule. — Debout mademoiselle, dis un policier, grand et moustachu. Venez avec moi. Je m’exécute et le suis. Nous entrons dans un bureau. Il ferme la porte ...