1. Je remplace ma collègue Sophie (4)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Transexuels

    Salut c’est votre folle de lycra Travaillant dans les assurances, je venais de changer d’employeur et ce dernier se prénommait Gilles, sa femme d’une grande beauté se prénommait Muriel. Sophie ma collègue, une bien belle femme, était mariée à un homme discret prénommé Claude. Ma femme Marie et Moi Franck avions facilement vingt-cinq ans de moins que le patron et sa femme. Bien que Muriel ait l’âge de ma mère, elle n’en restait pas moins très appétissante. Au bout de huit mois, ma collègue Sophie est partie en vacances et et elle m’a demandé à ce que je la remplace à remplir ses tâches au boulot, chose que je fis de tout cœur. C’est là que j’ai découvert tout ce qu’elle avait à faire dans la journée et surtout à l’heure du repas en compagnie de notre patron. C’est ainsi que j’ai été obligé de me rendre chez l’esthéticienne, j’ai appris à sucer mon patron, à m’offrir à lui et aussi à sa femme; je me suis même retrouvé habillé en femme. Muriel et Gilles était un couple échangiste et ils étaient en train de faire de moi une femelle, ma collègue Sophie surveillait ça de loin par SMS et MMS et ma femme était même au courant. En très peu de temps ce couple dirigeant avait fait de moi une femelle soumise et offerte. Je vous avais quitté dans le chapitre précédent, alors que Muriel était sur le point de me faire une turlutte. J’étais sur le point de prendre ma douche pour me débarrasser de la liqueur que m’avait déposé, tout au fond de moi, mon patron. Par-dessus ça, mon corps ...
    ... sentait le sexe et ce n’était pas le mien, pour la première fois de ma vie, je sentais l’odeur d’un autre sexe masculin sur mon corps. Pour mon plus grand plaisir mon sexe venait de disparaître dans la bouche de Muriel et j’étais en train de découvrir les talents de sa langue. Elle ne regardait pas ce qu’elle faisait, son regard était fixé sur le mien et ses lèvres épousaient parfaitement la forme de mon sexe. Elle assurait maintenant une dépression avec sa bouche, ce qui augmentait les sensations de plaisir. Je la voyais s’approcher de mon sexe puis s’en éloigner, toujours la bouche pleine avec sa langue qui virevoltait autour de mon Priape. Il n’y a pas à dire Muriel n’en n’était pas à son coup d’essai, elle avait déjà dû en sucer beaucoup des sucres d’orge et elle avait l’air de bien aimer ça. Cette femme quinquagénaire, d’une grande beauté, devait faire fureur lors des soirées dans les clubs échangistes. Là, j’avais le privilège de me faire pomper ma sucette à l’anis sur mon lieu de travail, ou plutôt au domicile de mon patron. Qu’est-ce qu’allait en penser ma femme Marie, si elle apprenait ce que je suis en train de faire maintenant; mais au fond de moi je me disais que peut-être qu’elle le savait. En plus de s’en prendre à mon poireau, Muriel me caressait les fesses et l’arrière des cuisses; il n’y a pas à dire c’était vraiment très agréable, elle maîtrisait la prestation parfaitement. Quand elle a commencé à rentrer ses doigts dans mon petit cul je me suis dit qu’elle allait ...
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