1. Je remplace ma collègue Sophie (4)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Transexuels

    ... J’avais l’impression de redécouvrir ma femme, car je ne la savais pas à ce point libérée, de sa main gauche elle me caressait le sexe et de l’autre elle faisait de même sur les attributs de mon boss. À quel moment s’était elle dévergondée à ce point, j’avais l’impression d’être passé à côté de quelque chose. J’étais à ce point troublé que je ne savais plus si je bandais comme un âne car j’étais à quelques millimètres du Minou de ma femme, ou parce que le sexe de Gilles était en train de me chauffer de nouveau. Je me sentais pris en sandwich par ce couple extra-conjugal. À un moment, j’ai pu constater que Muriel avait pris la place sur le canapé libéré, elle était en train de se chatouiller l’abricot en nous regardant tous les trois. J’étais assez heureux de constater que dans cette tenue, ou plutôt malgré cette tenue, en fait je ne sais plus.., j’arrivais à faire mouiller ma femme et surtout faire de l’effet à mon patron. À voir la proximité qu’avait Gilles avec ma femme, je pouvais en conclure qu’ils s’étaient envoyés en l’air sans m’en informer. Devais-je être satisfait devant la relation que mon couple était en train de lier avec celui de mon patron, ou en colère car ma femme m’a été infidèle. Pour l’instant j’étais en train de me dire que mon sexe avait été beaucoup sollicité aujourd’hui et que je n’étais pas sûr de pouvoir réussir à honorer ma belle ce soir. Par contre il n’y a pas à dire Gilles avec son pieux, avait l’air très endurant car il avait à nouveau une ...
    ... grosse envie de moi, il n’allait quand même pas pousser le vice de me prendre comme une chienne devant ma femme. Maintenant mon épouse avait lâché les deux sexes pour commencer à lever l’arrière de ma robe, il ne lui a fallu que quelques instants pour libérer l’accès de mes fesses au gros dard de mon patron. — J’ai envie que tu te fasses prendre par Gilles devant moi. Cela avait le mérite d’être clair, elle avait l’air bien pressée, car elle tenait déjà le sexe dominant pour venir le positionner à l’entrée de mon tunnel. En voyant ce qui était en train de se préparer, Muriel s’était relevée pour venir déposer de la salive dans la raie de mes fesses. Ce matin, Gilles m’expliquait qu’avec le temps j’y prendrait goût, j’étais en train de constater qu’il ne m’en a pas fallu beaucoup pour le désirer en moi. Très complices, les deux femmes m’ont fait agenouiller tout en douceur, pendant que Gilles faisait de même. J’ai compris quelques instants après, pourquoi elles m’avaient fait adopter cette position, c’est que Marie voulait se faire bouffer l’abricot pendant que je me faisais saillir. Il m’a fallu plusieurs minutes, pour comprendre que je n’aurais pas un minou mais deux à brouter pendant que je me ferai prendre. À voir leur complicité, il n’y avait pas de doute, ces deux femmes avaient fait des choses ensemble. En fait je n’avais pas trop le choix, j’étais devant le fait accompli, au fond de moi je me disais qu’en même temps, cette soirée allait nous réunir tout les quatre. J’étais ...
«1234...»