1. Je remplace ma collègue Sophie (4)


    Datte: 20/10/2019, Catégories: Transexuels

    ... les retrouver plein du sperme de son mari. Par moment la femme de mon patron sortait complètement mon sexe de sa bouche et ne restait en contact que grâce à sa langue. Muriel faisait en sorte à ce que je croise son regard sans arrêt et cela m’excitait énormément, j’avais l’impression qu’elle voulait me chauffer toujours plus. Bien évidemment un tel traitement fit que je n’ai pas pu tenir bien longtemps, je lui ai balancé de longues giclées de semence dans la bouche. Muriel a continué à me pomper de longues minutes avant que je ne l’invite à cesser car je n’en pouvais plus. Je suis ensuite parti prendre ma douche, ce n’était pas un luxe je vous le garantis. Dans la petite chambre où il pleut, il faisait bon, l’eau était chaude, il y avait une bonne pression cela m’a permis de reprendre des forces et de réfléchir à tout ce que je venais de vivre aujourd’hui. Quand je suis sorti, Muriel m’attendait et elle m’avait préparé une tenue bien féminine qui devait être sienne. Je vais vous avouer que j’étais un peu réticent à m’habiller à nouveau dans des fringues de nanas, mais Muriel a été un peu insistante et surtout elle m’a aidé à ainsi me vêtir. Une fois l’opération de métamorphose terminée, j’étais perché sur des escarpins que je ne voyais pas tant la douce et belle robe était longue. À ma grande surprise j’avais l’équilibre, même si ma ravissante quinquagénaire n’était pas loin pour que je m’appuie sur elle le cas échéant. Il a fallu un petit quart d’heure à Muriel pour me ...
    ... maquiller et que je puisse enfin sortir de la salle de bain. Nous nous sommes rendus dans le salon et là, je suis resté stupéfait, ma femme était là dans le canapé en train de faire causette avec mon patron. — Je te félicite Muriel, tu as fait de mon mari une femme superbe. — Tu es magnifique mon chéri, je ne pensais pas qu’elle réussirait à te faire aussi belle. — En plus de ça Gilles m’a dit que tu lui avais donné beaucoup de plaisir. À entendre ainsi parler ma femme, j’avais l’impression de ne strictement rien contrôler aujourd’hui, comme dans ma vie. Je ne pouvais qu’en conclure que tout avait été monté dans mon dos, même Marie était dans le coup. Quand je me suis approché de ma femme, elle s’est levée pour m’embrasser avec passion tout en me saisissant les fesses. M’ayant bien plaqué contre elle, elle ne pouvait pas ignorer la présence de mon sexe en pleine forme contre son bas-ventre. J’en arrivais même à être impressionné par la condition physique de mon appendice masculin, mais je pense que les circonstances aidaient. Tout comme je l’avais été quelques instants auparavant avec Muriel, je me sentais totalement offert et soumis à ma femme dans cette tenue. Sans que je m’en rende compte, Gilles est venu se coller à moi dans mon dos, je n’avais strictement aucun doute quant à la nature du gros bâton qui se trouvait entre mes fesses. Cela n’avait pas l’air de déranger ma femme, encore moins quand j’ai constaté que mon patron en profitait pour l’embrasser de temps à autre. ...
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