Domination féminine 1
Datte: 09/09/2017,
Catégories:
Anal
BDSM / Fétichisme
... sans vie, une machine électronique qui les permettait de se transcender immédiatement chose que leur pouvoir d'achat faible dans la société de consommation ne leur permettait plus de faire, la spiritualité étant morte, les relations humaines ne se résumaient qu'à des interactions marchandes parfois longues mais le plus souvent brèves. C'était dans ce monde ultra capitaliste qu'il devait vivre et brave ! Subitement il n'eut plus envie de jouer ! Ça n'était pas de la frustration, c'était une petite joie vaine sur le moment mais décisive pour la prise d'action dont il décida de se servir comme élan pour devenir un peu plus sociable. Cela faisait deux semaines qu'il ne s'était plus rendu au club des amateurs du cerceau. Immédiatement il décida de s'y rendre. Ça se situait en plein Shibuya, à l'intérieur d'une enseigne lumineuse, un local moyen plein de cerceaux. Toshimi Okura aimait y aller à cause de la chaleur humaine ou du moins de la chaleur humaine qu'il pensait qui s'y trouvait ; la plupart des aficionados du club des cerceaux étaient des hommes mûrs, chefs d'entreprises, mariés pour la plupart. À l'entrée vous vous déchaussiez ; respectueusement l’hôtesse vous accompagnait dans la salle principale ; un grand tapi tapissait le sol et supportait quelques chaises et plusieurs coussins ; au centre de la pièce un tas de cerceaux multicolores en plastique occupait l'espace. Quand on voulait s'amuser, on choisissait un cerceau, on le faisait tourner en cercle autour de la main, ...
... du bras, du cou, de la hanche, du pied, selon le choix ; on pouvait faire tournoyer le cerceau debout, assis sur les coussins ou carrément étendu sur le tapis. Toshimi Okura kiffait le club des cerceaux ; ça le divertissait ; c'était un peu cher mais c'était un endroit hors de la rivalité des genres. La libération féminine aidant, les femmes avaient conquit tous les espaces jadis réservés aux hommes ; à travers les différents clubs ces derniers s'en créaient de nouveaux. Toshimi Okura aimait vraiment cet endroit. À une cinquantaine de kilomètre de Tokyo la mère de Toshimi Okura habitait un faubourg mi-village et une mi-ville dans lequel s'élevaient des maisons modernes et où survivaient aussi des habitations de l'ère Edo. Lorsqu'il entrait chez sa mère qui résidait dans une maison de l'ère Edo l'impression d’atterrir sur une autre planète accueillait toujours Toshimi Okura. Un coin de la maison était dédié au culte des ancêtres, sur un autel reposaient les photos des membres de la familles morts. Quand on les regardait figés dans leur cadre en noir et blanc on avait l'impression qu'ils pouvaient nous voir, nous entendre, qu'on aurait pu les rencontrer. Leur présence flottait. La mère de Toshimi Okura descendait d'une longue lignée de samouraïs ; elle avait eu Toshimi Okura avec le fils d'un commerçant, ayant par cette négligence, dégradée son sang. Elle s'était éprise du père de Toshimi Okura qui n'avait rien de spécial, qui avait juste eu la chance ou la mâle politesse de ...