1. Domination féminine 1


    Datte: 09/09/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... tourner autour d'elle durant une période où elle avait consenti à laisser vivoter son esprit. Ils s'étaient mariés pendant la grossesse pour atténuer le déshonneur. À la naissance du fils elle était allée s'installer en ville avec le père. Durant cette période elle avait travaillé comme chef manager dans une grande entreprise à Tokyo. Vers la fin de l'adolescence de Toshimi Okura, le début de la quarantaine pour elle, elle avait subi un burn-out. Elle s'était éloignée de la ville. Elle était retournée au village de ses racines. Elle s'était mise à travailler la terre sur le petit domaine familiale qui donnait assez de fruits pour subvenir à ses besoins. Toshimi Okura était resté en ville avec son père. Elle s'était un peu coupée du monde ; elle avait très peu de besoin ; elle se contentait de peu ; elle avait abandonné robes et escarpins. Le temps libre que lui accordaient l'entretient de son jardin et la vente et le troc de ses produits sur le marché publique elle le dépensait en lisant les poèmes de l'ère Edo et ceux des ères antérieures. Les festivals saisonniers du village constituaient ses principaux distractions. Ne possédant ni télé, ni connexion internet, ni téléphone portable, elle menait un mode de vie simple et rustre qu'elle semblait pouvoir suivre éternellement. Son salon était toujours vide. Elle ne portait que des kimonos traditionnels. L'univers commençait, se poursuivait, et s’arrêtait, dans son village. C'était une femme peu bavarde. Elle travaillait ...
    ... beaucoup. Elle n'exprimait jamais ses sentiments, elle les démontrait. Toshimi Okura l'aimait plus que son père avec lequel il n'était plus entré en contact depuis quatre ans. Il portait une affection particulière à sa génitrice. Pour ne pas se sentir coupable, il la rendait visite une fois par mois. Ça le rendait triste de savoir qu'aucune femme au monde ne pourrait jamais l’aimer comme sa mère. Il aimait la manière qu'elle avait de se courber affectueusement devant lui en kimono fleuri lorsqu'elle lui servait du saké. Chaque séance une galette des rois durant laquelle il ignorait à quelle sauce elle le croquerait mais savait qu'elle aurait la couronne. Il était son esclave. C'était elle qui décidait ce qui se passait pendant leurs séances sadomasochistes. Sur le fauteuil en cuir du salon Maîtresse Satoko Naomi dormait complètement nue. Ses cheveux marrons clairs s'étalaient sur le cuir noir. Elle dormait sur le coté les fesses vers le sens de la table basse. À quelques mètres de là, à quatre pattes sur le tapis, plug anal dans le cul, collier de chien au cou, le soumis ne ratait rien du spectacle et subissait une érection formidable. L’effluve qui émanait du corps nu de sa Maîtresse l'étourdissait, accentuait son désir sexuel pour elle. Mais dans sa cage de chasteté il bandait en vain. Il rampa vers la table basse. Il se leva. Ses mains saisirent la table en verre puis la déplacèrent précautionnement vers un coin du salon. Elle continuait de dormir. Il se remit à quatre pattes ...