1. L'ouvre-lettres


    Datte: 20/10/2019, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, couplus, extracon, strip, Oral 69, pénétratio, exercice,

    ... début ? Il était tellement captivé par son sourire mystérieux, ses lèvres fines qui s’ouvraient sur des dents d’un blanc implacable, qu’il ne vit même pas sa complice se couler jusqu’à elle, lui enlacer le cou et se mettre à le regarder avec la même expression, celle d’un esprit malin qui a réussi son mauvais coup. Cristina prit la main de cette dernière puis lui caressa distraitement l’avant-bras un instant, comme si elle savourait sa victoire par trahison. — Cristina, je… Je vais t’expliquer. Ça y est. Il les avait dits, ces mots que tout mari infidèle se retrouve un jour obligé de dire. C’était pathétique. Soixante-cinq ans à contourner tous les pièges pour en arriver là et être finalement obligé d’admettre à sa jeune et magnifique femme que c’était un connard. — Ah oui, mon chouchou ? demanda sa femme, sarcastique. Tu veux m’expliquer ? Elle se tourna et chercha les lèvres de Pauline, l’embrassa. Il vit les langues se mélanger goulûment. Le pire, c’était qu’il bandait toujours. Elles sont maîtresses. Depuis quand ? La main de Pauline descendit, plongea dans le sage décolleté de Cristina, lui malaxa un sein. Il ne savait plus si la douleur qu’il ressentait dans le ventre était issue de la trahison ou de son excitation. Il en avait déjà vu des lesbiennes en action, au cours de ses aventures. Mais dans des cadres plus conventionnels. Plus préparés. Et certainement pas avec celle qu’il aimait pour actrice principale. Pourquoi font-elles ça ? Perplexe, il vit sa femme se ...
    ... laisser allonger puis téter l’un des seins que Pauline lui offrait au-dessus d’elle. Cette dernière était en train de déboutonner la jupe, déjà retroussée. Et lui, il était toujours là, comme un con, à les regarder commencer à se tripoter… Je suis censé faire quoi moi, là ? Peut-être que s’il restait calme, s’il se contentait de les regarder l’humilier, alors peut-être qu’il pourrait négocier, expliquer, se faire pardonner. Cristina avait repris le dessus. Une fois sa maîtresse allongée, elle l’avait enjambée et enlevait maintenant son propre haut d’un geste, avant de dégrafer son soutien-gorge. Sa poitrine était ronde, elle aussi. Plus petite, mais ronde, avec des mamelons clairs toujours dressés. Et elle ne le calculait toujours pas. C’était elle qui profitait à sa place, maintenant, de ce splendide corps nu qu’il avait invité jusqu’ici, sur son lit conjugal, prétendant le baiser. Et lui se contentait de faire le meuble, toujours pétrifié par la surprise et la honte. Elles m’oublient ou quoi ? Seins contre seins, elles s’embrassaient à pleine bouche, se caressaient comme deux amants qui ne se sont pas vus depuis des semaines. Était-ce entre les cuisses de Pauline que la main de Cristina avait disparu ? Une chose était certaine : l’étudiante était en train de faire glisser la jupe de sa femme. Le corps fin et musclé de cette dernière était à présent entièrement nu. Sa croupe cambrée, qu’il aimait tant, était un supplice. Que n’aurait-il donné pour la prendre là maintenant ? Il ...