1. L'ouvre-lettres


    Datte: 20/10/2019, Catégories: ffh, hplusag, jeunes, couplus, extracon, strip, Oral 69, pénétratio, exercice,

    ... Jamais il n’avait autant aimé sa femme qu’en ce moment et pourtant… C’est trop beau… Il va m’arriver quelque chose…Où est ce putain d’ouvre-lettres ? C’était une question qui lui paraissait vitale et pourtant il ne pouvait pas se détacher de ce qu’il voyait, alors que Cristina s’acheminait vers un orgasme fulgurant, qui se manifesta bientôt en rugissements sauvages. Encore tremblante, elle se déroba et roula sur le côté, le laissant seul au-dessus du corps nu de Pauline, avec une érection fantastique. Et cependant, il n’osait pas la toucher. L’étudiante ne l’entendait pas de cette oreille. Se tournant sur son ventre, elle lui attrapa au vol sa verge luisante et commença à la sucer avec davantage de fougue. Didier éjacula presque sans le voir venir, à grands jets. Alors que Pauline lui nettoyait le gland avec gourmandise, Cristina les regardait d’un œil lubrique. Lorsque l’étudiante décida d’aller à la salle de bains pour se rafraîchir, sa jeune femme se glissa jusqu’à lui, féline, lui caressa le torse et l’enlaça pour un long baiser langoureux. Puis elle l’attira sur le lit pour se lover contre lui, caressant ses poils blancs. Pour lui, impossible de parler. — Tu es jaloux ?— Je… Je ne sais pas.— C’est bien pour ça que je te l’ai annoncé comme ça. Je savais que tu trouverais… quelques compensations.— Comment… ?— Pauline a fait un stage au bureau. Je l’ai prise sous mon aile. Tu te souviens de cette soirée entre collègues ?— ...
    ... Oui, tu étais rentrée plus tard que prévu. Tu m’avais dit que c’était parce que…— Parce que j’avais dû ramener la stagiaire…— Et c’est cette nuit que… ?— Que nous avons couché ensemble pour la première fois. Oui.— Parce que… parce que…— Il y en a eu d’autres oui. Je baise avec Pauline régulièrement depuis trois mois. Je voulais te le dire, mais je craignais ta réaction… Tu es tellement vieux jeu parfois !— Mais je suis vieux…— Oui, je sais. Mon vieux ronchon. Mais je t’aime.— Et elle ?— Je crois que je l’aime. Aussi. Silence. Dans la salle de bains, on entendait Pauline faire couler l’eau. Didier n’était pas partageur, même avec une autre femme. Si elle le lui avait appris autrement, il aurait fait une scène de jalousie, en aurait souffert. Mais là, il y avait trop d’informations en même temps. — Alors, on fait quoi maintenant ? Je veux dire… Pauline…— Je veux bien te la prêter de temps en temps.— C’est pas ce que je voulais dire… Cristina éclata de rire. — Et que veux-tu qu’on fasse d’autre ? On va baiser avec elle autant qu’elle le voudra. Pourquoi, n’en profiterions-nous pas ? À ce moment, la porte de la salle de bains s’ouvrit. Sur son seuil, hésitante, Pauline, les mains dans le dos, nue, mouillée et magnifique. Échange de regards. Alors l’évidence lui apparut. Je vais finir par en mourir. Sans ouvre-lettres. J’aurais la mort que je souhaite et elles auront mon fric. Son sexe se gonflait déjà. Pauline sourit. Merci mon Dieu. 
«12...12131415»