L'ouvre-lettres
Datte: 20/10/2019,
Catégories:
ffh,
hplusag,
jeunes,
couplus,
extracon,
strip,
Oral
69,
pénétratio,
exercice,
... n’avait pas su s’en contenter. Il ne la toucherait sans doute plus jamais. Toujours sans le regarder, Cristina se glissa au-dessus de sa maîtresse, jusqu’à sa bouche. Docile, celle-ci entreprit de la lécher amoureusement. Elles sont plus que de simples maîtresses… Ce n’était pas l’une de leurs premières fois, c’était certain. Il y avait des gestes de tendresse, entre elles, qui allaient au-delà de la simple complicité criminelle. La manière dont Pauline léchait le con de Cristina, la manière dont celle-ci ondulait doucement du bassin en lui caressant les cheveux, les yeux vissés dans les siens, tout concourait à cette évidence : elles s’aimaient. Ce n’était plus de la honte, à présent, qui le submergeait, mais une jalousie verte, virile. Et tout ceci se mélangeait toujours à l’excitation. Putain, elle se fait brouter devant moi… Elle m’a trompé avant ! Salope ! Jamais il n’avait su ce penchant. Elle avait même toujours prétendu que les femmes la répugnaient. Mais là, elle se caressait, jouant de ses cheveux, tournant sa vulve au-dessus de la bouche offerte avec impudeur, comme elle le faisait au-dessus de lui quand ils faisaient l’amour. Alors elle lui lança un regard qui le fit chavirer, son délicieux sourire révélant une nouvelle fois ses dents blanches. — Je te trouve bien long à la détente, chouchou. D’habitude, tu n’es pas aussi timide… C’était un rêve et il allait s’éveiller. Ce n’était pas en train de lui arriver. Sa femme n’était pas en train de l’inviter à la ...
... partager avec une autre, de quatre ans sa cadette. Il n’allait pas baiser ces deux femmes dont leurs deux âges réunis n’égalaient pas le sien. Et pourtant, comme monté sur ressort, il se dressa, dans tous les sens du terme. Son sexe était déjà sorti lorsqu’il arriva à portée de main de Cristina, qui le prit doucement dans sa main, toujours chevauchant la jeune étudiante. Il répondit à l’appel de ses lèvres tendues pour un baiser fougueux. Lorsqu’il en sortit, comme étourdi, il essaya de parler : — Cristina, je… Qu’est-ce que… ?— Chhhht ! mon chouchou… Elle ne te plaît pas ma surprise ?— Si… si… mais…— Mais quoi ? Ne me dis pas que Pauline ne te plaît pas… Je sais que vous avez déjà baisé ensemble… Bien évidemment qu’elle le savait ! Il se tut. D’ailleurs, Cristina s’effaçait soudainement, laissant réapparaître le visage de Pauline, luisant de mouille tout autour des lèvres. Ce fut sa femme elle-même qui amena sa verge dans la bouche offerte. Pauline téta docilement le gland, moins goulûment, plus réservée, comme intimidée par l’irruption de sa mentor. Didier n’avait plus l’âge d’être précoce et pourtant, là, il crut bien qu’il allait exploser dans la seconde. D’autant que sa femme se tourna et lui offrit bientôt sa croupe, enchevêtrée avec sa maîtresse dans un 69 qui s’annonçait torride. Il la pénétra d’un seul trait, dans un feulement commun avec elle. Pendant qu’il la pistonnait sans vergogne, la langue de leur maîtresse commune allait de ses bourses au clitoris de Christina. ...