Le bâton de la maréchale
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
uniforme,
init,
Salut, je m’appelle Sophie et je vais vous raconter comment j’ai eu ma première expérience avec une femme. C’était il y a trois ans de ça… Je venais de réussir mon baccalauréat et j’avais décidé de rentrer dans la gendarmerie. Jusqu’à présent, j’étais plutôt une fille sage même si j’avais déjà couché avec un garçon de mon lycée. J’ai donc passé le concours d’entrée de la gendarmerie que j’ai obtenu haut la main. Quelques semaines plus tard, j’ai été convoquée pour aller faire mes classes. Dès notre arrivée à la caserne, nous fûmes répartis par petits groupes de travail. La journée était bien remplie avec beaucoup de sport le matin, des cours théoriques et pratiques l’après-midi. Et bien sûr, le soir venu impossible de sortir de la caserne. Une vraie vie de nonne. La deuxième semaine, j’ai sympathisé avec Agnès, une jeune maréchale des logis nouvellement affectée à l’instruction. Elle aussi ne connaissait pas grand monde ici et nous nous sommes trouvées pleins de points communs. Le soir, Agnès pouvait quitter la caserne mais elle préférait rester au foyer, n’ayant pas encore d’appartement en ville. Agnès était aussi brune que je suis blonde. Sa corpulence était un peu plus forte que la mienne, elle avait surtout des fesses bien rebondies et une poitrine que je devinais très développée (à vue d’œil 95C). Pourtant, avec ses cheveux courts, elle avait un côté garçon manqué assez mignon et très attendrissant. Agnès n’avait pas de petit ami et elle m’avouait un soir en rentrant ...
... aux dortoirs qu’elle n’était pas très attirée par les garçons. Cette révélation me troubla car, depuis mon dépucelage, je n’étais pas non plus trop branchée par les garçons. Mais Agnès, comme moi, n’avait jamais pensé à faire ça avec une fille. On rigola beaucoup de ces révélations et nous allâmes nous coucher. La semaine suivante, le hasard fait qu’Agnès et moi étions de garde ensemble. Le soir venu, je me présentais au poste de garde accompagnée d’une autre jeune recrue Éric. Il nous chambra un peu toutes les deux, nous disant que c’était la première fois qu’il allait avoir deux filles pour lui tout seul une nuit entière… Agnès le réprimanda et lui rappela qu’elle était sa supérieure et qu’il devait surveiller son langage et son comportement sexiste, puis elle me fit un clin d’œil… Vers 23 heures, j’étais seule dans la guérite lorsque Agnès sortit du poste de garde et vint me rejoindre. Elle me demanda si je n’avais pas trop froid. Je lui répondis non mais, elle mit ma main dans la sienne et constata qu’elle était gelée. Elle appela Éric et lui demanda de me relever un peu plus tôt. Nous rentrâmes toutes les deux dans le poste. À cette heure-ci, la caserne était très calme, le foyer était fermé. D’ici au lendemain matin, nous n’aurions plus qu’une ou deux voitures au passage ; souvent des officiers qui rentraient d’une soirée en ville. Agnès me proposa de me mettre à l’aise puisque je n’irais remplacer Éric qu’après trois heures de pause et que d’ici là il fallait que je me ...