Le bâton de la maréchale
Datte: 21/10/2019,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
uniforme,
init,
... de mouille tandis que je faisais jaillir deux superbes et gros seins de son soutien-gorge. Je les léchais, allant de l’un à l’autre tandis qu’Agnès me branlait à toute vitesse. Je jouis presque instantanément tant j’étais excitée par ses attouchements précédents et notre long baiser. J’inondais sa main droite pour son plus grand plaisir en hurlant de bonheur… Agnès me bâillonna la bouche de son autre main pour que je n’attire pas l’attention d’Éric avec mes cris. Quand je fus calmée, elle baissa elle-même son pantalon et sa culotte sur ses chevilles. J’étais si excitée (et elle aussi) que plutôt, je n’avais pas fini de la dévêtir. Elle s’assit sur la table, face à moi, jambes grandes ouvertes. Je voyais sa fente rouge gonflée de mouille qui baillait devant moi. Son clitoris bandé sortait de ses lèvres comme un mini phallus. Elle attira mon visage entre ses cuisses. Agnès avait une magnifique toison brune. Je n’avais jamais osé imaginer ce que j’allais faire et pourtant je le fis sans même y penser. Je me jetais à genoux entre ses cuisses et lui bouffais littéralement la chatte. Elle dégoulinait de partout… Plus elle mouillait, plus je lapais. Plus je léchais plus elle coulait. C’était hallucinant… J’aspirais son clitoris, le suçais comme une verge. Ma langue allait et venait dans son étroit vagin (elle m’apprit par la suite qu’elle était toujours vierge). Je buvais son jus, déglutissais à pleine gorge. Jamais, je n’aurais cru que l’on puisse mouiller autant. Quand Agnès ...
... sentit qu’elle allait exploser, elle poussa sa chatte en avant, mon nez butta contre son clitoris et mes lèvres couvrirent ses nymphes. J’aspirais tout son miel tandis que ma langue se plantait au plus profond de son vagin. Agnès mordit sa main pour ne pas hurler mais elle gémit si fort… ; son corps fut pris de convulsions et elle s’écroula sur la table essoufflée, en sueur, avec un sourire béat. Je me collais contre sa poitrine pour écouter battre son cœur de bonheur. Je l’embrassais passionnément avec plus de tendresse. Alors, dans le creux de mon oreille, elle murmura : — Je t’aime Sophie. J’avais envie de pleurer, la voix cassée dans un souffle quasi inaudible je lui répondis : — Moi aussi, je t’aime Agnès. J’avais encore envie d’elle. Mon sexe coulait de désir mais il fallait faire vite. On ne pouvait risquer d’être surprise ici. On ouvrit la fenêtre pour renouveler l’air. Ça sentait vraiment la chatte en chaleur dans la pièce. On s’habilla rapidement ; nos culottes étaient toutes auréolées d’amour… Agnès me dit qu’on ne pouvait pas continuer nos ébats ce soir, même si elle en mourait d’envie (et moi donc). Elle me promit que pour ma première permission, elle m’amènerait dans un hôtel de la ville. — En attendant, me dit-elle,— Il faudra être très discrètes toutes les deux, même si chaque fois que je vais te croiser dans un couloir je vais avoir envie de te faire l’amour…— Moi aussi, lui dis-je, il faudra qu’on soit prudentes. Je lui donnais un tendre baiser pleins de ...