Florence et moi (3)
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... bande, articulai-je difficilement, il se passerait quoi ? Bah je me demanderai ce que tu attends pour venir me la mettre, répondit-elle en riant. » C’en était trop pour moi. Mes bonnes résolutions ? Oubliées, piétinées. Je me levai de ma chaise et jetai ma clope par la fenêtre. Flo releva encore davantage sa jupe et s’affala sur les coussins, les jambes généreusement écartées pour que je puisse la rejoindre. Sachant que les autres n’allaient peut-être pas tarder à débarquer, je me contentai de baisser jean et boxer sur mes cuisses, afin de libérer mon sexe et m’allongeai sur elle. Elle passa les bras autour de mon cou pour m’attirer à elle, tandis que, de la main droite, je guidai mon membre vers ses lèvres humides. La levrette une demie-heure plus tôt avait largement préparé le terrain et je n’eus aucun mal à la pénétrer de toute ma longueur. Ma bouche se riva à la sienne tandis qu’elle croisait ses jambes autour de ma taille et, grâce à de légers mouvements de hanches, imprimait sa cadence. Malgré la position, ce ne fut pas spécialement doux, nous y allions par des coups de reins relativement espacés mais très puissants, de sorte que je sentais à chaque fois mon gland frapper contre le fond de sa chatte. Puis soudain, je réalisais qu’on avait un soucis et m’arrêtait. « Je jouis où ? Fis-je. On a plus de mouchoirs et t’as pas de string pour absorber. » J’étais sur le point de me retirer, mais elle serra davantage les jambes pour me retenir. « T’auras qu’à jouir dans ma ...
... bouche, ça évitera les traces. » Je fus tellement surpris que je manquai de me vider en elle. Je dus faire un effort terrible pour maîtriser les contractions de mon sexe. Après quelques secondes d’intense concentration et tout risque de dérapage évité, je pus reprendre le mouvement, avec une certaine prudence. « Tu fais ça toi ? Demandai-je. » Elle fit la moue. « Y a un début à tout. » Elle me sourit tandis qu’on reprenait nos coups de reins, mais à peine une ou deux minutes plus tard, on entendit sonner à l’entrée. Je me retirai précipitamment tandis qu’elle rabattait sa jupe et que je rangeais mon attirail. « Ils font chier, commenta-t-elle avec un soupir exaspéré. Allume-toi un clope, ça pue le sexe dans la pièce. » Je m’exécutais tandis qu’elle allait ouvrir la porte. Après quelques exclamations, elle revint avec un couple d’amis de longue date. Nous fûmes ensuite rejoints par deux autres amies de Florence et l’après-midi suivit son cours, enchaînant les parties, les blagues et les bières. Seul le couple resta le soir et finit par partir à dix heures, nous laissant seuls, elle sur le lit, moi assis près de la fenêtre, chacun avec une clope à la main. Le malaise était palpable, l’après-midi festif ayant chassé la débauche du midi, et on échangeait des banalités comme si de rien n’était. Ou plutôt, on se forçait clairement à faire comme si de rien n’était. Une heure passa comme ça, jusqu’à ce que le malaise devienne insupportable. Je savais que je n’avais plus que deux options : ...