Florence et moi (3)
Datte: 23/10/2019,
Catégories:
Hétéro
... partir ou relancer. « On fait quoi, du coup ? Hasardai-je. » Elle me fixa, surprise. « Par rapport à quoi ? — Bah tu sais bien, ce qu’on a dû interrompre à cause des autres. » Elle me sourit et remonta un peu sa jupe tout en parlant, histoire que j’ai une vue imprenable sur ses mollets. « Ah ça, fit-elle comme si elle avait oublié. J’ai rien contre reprendre, mais t’as peut-être des remords. Ou plus envie. » Je soupirai. Des remords, j’en avais, pour sûr. Mais j’avais aussi une trique incontrôlable et des images du cul de Flo couvert de sperme, mon sperme, qui me hantaient. Qui de l’envie ou des regrets gagnait le match ? La vision de son visage strié de ma semence suffit à me décider. « Non, ça va, fis-je. Au point où j’en suis, je peux bien remettre le couvert. » Une seconde plus tard, elle était à quatre pattes, la jupe retroussée sur ses hanches, la croupe dressée vers moi. « En levrette ? demandai-je, t’es sûre ? » adsahhw Elle se pencha contre les oreillers pour tendre encore plus son cul vers moi. « Ouais, j’ai bien aimé tout à l’heure, alors autant y aller franco. » J’allais me placer derrière elle, ses lèvres étaient détrempées comme si elle avait mouillé non-stop depuis qu’on avait été interrompu et je n’eus aucun mal à la pénétrer jusqu’au bout. Elle commença ses va et viens, mais je restais immobile, songeur et savourant la sensation de son sexe humide coulissant sur le mien. Elle s’arrêta bien vite et se tourna vers moi. « Y a un soucis ? ...
... demanda-t-elle. » Je fis semblant de réfléchir. « Non, mais je me disais que tu allais sûrement réclamer que je me retire. Du coup, je me demandais où j’allais jouir. » En guise de réponse, elle se redressa, ce qui provoqua l’expulsion immédiate de mon membre, et retira t-shirt et soutien-gorge. « T’as déjà fait le visage et le cul, précisa-t-elle, il reste mes seins et je pense qu’on aura le trio gagnant. Vendu ? » Comme ça m’allait tout à fait, je la penchais en avant et la pénétrait de nouveau. Cette fois encore, le rythme fut soutenu, brutal et, quelques courtes minutes après le début, je répandais ma semence sur sa poitrine en de puissants jets dont je ne me savais pas capable, à tel point que ses énormes seins en furent entièrement recouverts et que même son épaule (et les cheveux qui y reposaient) ne fut pas épargnée. Suite à ça, Florence devint ma maîtresse. Je la voyais une ou deux fois par semaine, en général chez elle, pour une ou deux parties de jambes en l’air. Je la prenais en levrette ou en andromaque, sur son lit ou contre son bureau et éjaculais le plus souvent sur son visage ou ses seins, quelques rares fois sur son cul ou dans sa bouche. Les préliminaires étaient souvent limitées au strict minimum, quand il y en avait : on baisait comme des malades, mais ne faisions jamais l’amour. Ça a duré plus de deux ans avant qu’il n’y ait du changement dans ma vie et si cette histoire vous a plu, je vous raconterai sans aucun doute les morceaux les plus croustillants.