Ma découverte extraordinaire de Brigitte
Datte: 26/10/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
jeu,
init,
humour,
... semblent pétrifiés, ou tout au moins qui évoluent avec une désespérante lenteur me lance Brigitte, qui semble véritablement claquer des dents et qui en attrape la chair de poule.— J’ai, sur tout cela, une petite théorie qui vaut ce qu’elle vaut. Veux-tu que je te la dise? Lui dis-je en lui posant sur les épaules, ma veste de survêt pour lui apporter un peu de chaleur. Devant son acquiescement, je pars dans une explication qui semblerait fumeuse à tout autre que moi et à laquelle j’ai du mal à adhérer aussi. — Voilà, je pense que nous nous trouvons dans une autre dimension temporelle. Regarde bien autour de toi, et tu verras.— Regarde leurs paupières, as-tu vu à quelle vitesse elles se ferment ? La fumée de cigarette, as-tu vu comme les volutes sont longues à monter? Le pochetron là-bas, as-tu vu comme il postillonne, et surtout, comme ses postillons mettent du temps à atteindre leur cible? Vois-tu cette mère qui gifle son enfant? Sa main est levée et la gamine attend stoïquement sa baffe….— Un instant qui passe pour nous deux, si tu le multiplies par mille, ça correspond à une seconde pour eux. Ça je m’en suis aperçu en jetant un coup d’œil sur l’horloge du bar, qui est étalonnée en millièmes de secondes. Avant, on ne voyait qu’un défilement hyper rapide, alors qu’aujourd’hui on peut clairement distinguer les chiffres, tout comme sur ma montre chrono. Waouh ! C’est dingue, mais je suis bien obligée de reconnaître que tu sembles avoir raison. Mais dis donc, si l’envie de me ...
... violer te prenait, ça irait tellement vite que même ce flic ne pourrait me sauver – me demande t’elle – en me montrant un policier municipal entré dans le bar pour y faire l’emplette de chewing-gum. Elle en pique un d’ailleurs, ne pouvant résister à la boîte ouverte devant son nez. Immobile comme tous les autres clients du bar, il semble faire l’article pour une marque de dentifrices connue (et donc que je ne dévoilerais pas, non, non, n’insistez pas!). Voyant que Brigitte prend relativement bien les choses, qu’elle plaisante et qu’elle a retrouvé sa joie de vivre, je lui dis : — Effectivement, si j’avais envie de te violer, ça ne me serait pas difficile, et j’avoue que j’ai envie de commencer par t’embrasser. A moitié surprise, elle me voit m’approcher d’elle, le regard enjôleur, et quand je la prends dans mes bras puissants et musclés (ça c’est à l’intention de mes lectrices, dès fois qu’elles voudraient essayer…), elle se colle à moi. Plaque ses seins contre ma poitrine musclée et velue (même remarque que précédemment). Ma bouche écrase la sienne, nos lèvres se cherchent, se trouvent. De ma langue je force le barrage de ses dents, obstacle vite levé puisqu’elle ne tarde pas à me laisser explorer son antre buccal. Alors commence une bataille en règle, nos deux langues virevoltent, se lient, se délient, vont et viennent, se sucent, s’amadouent, se recherchent, se trouvent… Ce baiser a duré à peine une minute, c’est-à-dire à leur échelle, pas même une fraction de seconde. Et ...