1. Un dernier verre


    Datte: 28/10/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail hotel, amour, volupté, Oral pénétratio, fdanus, glaçon, fouetfesse,

    ... maintenir en perpétuel déséquilibre, juste au bord de l’orgasme que tu attends, le souffle de plus en plus lourd. Ma langue te pénètre maintenant de mieux en mieux et je peux atteindre tes parois intimes. Je maintiens tes fesses écartées d’une main, fais glisser l’autre sur ta chatte et enfonce un, puis deux, puis trois doigts à l’intérieur de ta caverne de plaisir. Je te branle au même rythme que ma langue te fouille, je sais que ce traitement va te faire jouir, alors j’arrête bien vite. Un cri de frustration t’échappe et tu cries : — Non, n’arrête pas ! Pour toute réponse, je m’écarte un peu de toi, cessant tout contact avec ton corps et te fais remarquer : — C’est moi qui décide de ce qui t’arrive et personne d’autre, compris ? Sans te laisser le temps de répondre, j’assène deux claques retentissantes sur ton cul ; tes fesses rougissent instantanément, manifestement je n’y suis pas allé de main morte ! — Ne bouge plus maintenant, et attends… Sur ces paroles, je m’éloigne de toi et du lit. Je vais chercher quelque chose sur la table, mais sans me presser. Au passage, je peux voir mon profil dans le miroir en pied, avec mon sexe dressé et raide comme il ne l’a jamais été (à moins que ce ne soit qu’une impression… ?) et, au bout du gland, quelques perles de liquide s’échapper… Je vais avoir du mal à tenir, je crois bien ! Je me retourne et tu n’as pas bougé, en effet. J’admire ton corps offert de manière impudique, ton cul encore rougi en l’air et ta respiration toujours ...
    ... aussi lourde. — Tiens tes fesses écartées, je veux que tu m’offres ton trou comme une petite pute en chaleur, allez ! Le ton de ma voix ne souffre aucune discussion, et en effet tu t’exécutes sans broncher. Que tu es belle ainsi, mélange de beauté racée et de perversité assumée… Je m’approche de toi et observe ton trou qui est maintenant aussi brillant que ton sexe. Sans te prévenir, j’applique brusquement le glaçon dessus et pousse afin de l’enfoncer en toi. Tu cries sous l’effet de surprise, mais tu as la présence d’esprit de ne rien changer à ta position, maintenant toujours tes fesses écartées. C’est presque dommage, j’aurais bien aimé t’administrer une claque ou deux… tant pis, ce sera pour une prochaine fois… Alors que tu frétilles sous l’effet subit du froid dans cet endroit si particulier, je rajoute rapidement trois autres glaçons. J’ai un peu de mal avec le dernier et je dois m’aider de mon index pour bien le faire pénétrer. Je le fais bouger dans tes entrailles qui sont maintenant aussi trempées que ta chatte et je t’entends reprendre tes gémissements. Après plusieurs allers-retours je n’y tiens plus, il est temps de t’envoyer au fond du précipice (et de me soulager !!!). Je te retourne sur le dos et soulève tes jambes en les calant sur mes épaules. Je suis à genoux devant ta chatte et, lentement, fais entrer ma queue en toi, sans arrêter, jusqu’à la sentir buter au fond de ton vagin chaud et détrempé. Je m’arrête un instant pour savourer la sensation d’être ainsi ...
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