1. Bénédicte raconte: Café-Tabac


    Datte: 29/10/2019, Catégories: fhh, couple, caférestau, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme journal,

    ... de la mer. Je m’étais un peu promenée – et ennuyée – entre ses rendez-vous. J’avais fait quelques magasins, allumé quelques mecs de passage… il faut dire que ma tenue était plus que courte, comme toujours lorsque je suis avec lui, et je ne sais pas si ce sont ces regards ou la perspective d’une soirée, mais j’étais assez excitée, et le bout de mes seins nus sous mon chemisier ne permettait aucune équivoque… Nous avions un peu de route à faire en cette fin de journée pour rejoindre sa maison, et je me sentais bien, appuyée contre lui, avec sa main qui caressait ma cuisse et frôlait le fond de ma culotte. (Oui, oui, j’en avais une !) Nous avions pris une route qui longeait la côte, et comme ça n’était pas encore l’époque des vacances, les voitures que nous voyions sur les parkings n’étaient pas celles de gens venus à la plage ! Il y avait beaucoup d’hommes seuls au volant, et nous nous demandions en plaisantant s’ils trouvaient ce qu’ils cherchaient. Et bien sûr, Pierre a décidé de faire un petit arrêt… Je vous l’ai dit : c’est un cochon et il ne rate jamais une occasion. Aussitôt nous avons été entourés d’une nuée de voitures ! Là c’était trop et nous sommes partis. Mais j’avoue qu’à la vue de tous ces mecs se précipitant vers nous, moi bien en sécurité avec lui dans sa grosse voiture, j’étais très excitée et je me sentais toute humide… Il y avait un gars qui semblait plus hardi que les autres et qui s’est mis à nous suivre. Au bout de quelques kilomètres, il était ...
    ... toujours là, pas trop près, mais bien là. Pierre m’a annoncé qu’il avait une "petite idée " dans la tête, et j’ai tout de suite senti que j’allais être mise à contribution ! Nous sommes arrivés à l’entrée d’un petit village, passant devant un tout petit Café-bureau de tabac encore ouvert et tenu par un garçon qui semblait bien seul derrière son comptoir. Pierre s’est arrêté, imité par notre suiveur, et m’a demandé d’aller chercher un paquet de cigarette. Mais avant que je ne descende, il a ouvert mon chemisier jusqu’au-dessous de mes seins. Avec en plus ma jupe au ras des fesses, j’ai un peu hésité. Mais je crois que j’étais déjà pas mal excitée. Je suis passée devant la voiture de notre suiveur. Je me sentais un peu flageolante sur mes jambes, et le gars avait les yeux qui lui sortaient de la tête. A la façon dont il me regardait, j’ai senti une grande chaleur dans mon ventre ; je mouillais franchement ma culotte, et mes joues me cuisaient. Devant la porte du magasin, j’ai failli reculer, je me sentais terriblement pute. Mais ma nature avait parlé. Et je sentais les yeux de Pierre dans mon dos. J’apercevais à travers la vitre la silhouette du garçon qui tenait le bar, sans pouvoir le distinguer nettement. D’abord ce trac mêlé d’excitation, ce poids sur l’estomac qui se transforme en une boule de chaleur dans le ventre et entre les cuisses, puis cette agréable sensation de brouillard, avec les tempes qui battent un peu, et la prise de conscience de mon corps, de mes seins qui ...