1. Bénédicte raconte: Café-Tabac


    Datte: 29/10/2019, Catégories: fhh, couple, caférestau, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme journal,

    ... hanche comme pour montrer que je lui appartenais. Il a glissé son autre main sur ma cuisse et l’a tirée sur le côté. Complètement soumise, envoûtée par sa présence et sa voix, j’ai ouvert les jambes, ou plutôt je me suis laissée ouvrir par lui… Le patron s’est penché par-dessus son bar pour regarder, et notre suiveur était complètement statufié. Moi j’étais à la limite de l’orgasme, sans me toucher, mais j’avais l’impression se sentir physiquement leurs regards me toucher le sexe, les seins. Et comme je portais un slip noir assez fin et transparent, et que je suis presque complètement rasée, j’imagine qu’ils voyaient mes lèvres gonflées. Je me laissais aller, appuyée contre mon ami, m’attendant à ce qu’il ouvre aussi mon chemisier et permette aux deux autres de venir me peloter. Je crois même que j’avais envie qu’il leur demande de venir me tripoter comme si j’étais une poupée, un objet. J’avais envie de sentir des doigts sur mes nichons, sur mon clito et dans ma fente pour calmer ma fièvre. Je sentais mon slip me comprimer les lèvres, et mon bouton tendu à l’extrême. Dans ces moments-là, j’aime lui appartenir complètement et être entièrement soumise, passive et guidée par lui. Comme à travers un brouillard, j’ai entendu la voix de Pierre : — Elle aime bien qu’on la regarde, et moi aussi… Mais avec les yeux seulement… Si je n’avais pas été appuyée contre lui, je serais tombée de mon tabouret tellement ses paroles m’ont provoqué comme une décharge électrique. J’adore le son ...
    ... de sa voix, surtout quand je la sens un peu tendue comme à ce moment-là, signe de son excitation. Comme je m’y attendais, j’ai senti ses mains écarter mon chemisier à moitié déboutonné, le tissu frotter sur mes tétons en s’écartant, et j’ai eu un mini orgasme quand il a pris mes seins par-dessous dans ses mains, en me pinçant les bouts. J’avais toujours les jambes écartées devant ces deux hommes, et j’attendais que Pierre me touche la chatte ou écarte le fond de mon slip. Je ne sais pas combien de temps il m’a exhibé comme ça, en me caressant les seins, mais je n’avais plus aucune notion de temps ni de rien d’autre, j’étais simplement dans une sorte de coma, de rêve, avec une immense chaleur dans les reins, le ventre. Je sentais mon clito tendu et mes seins lourds. J’ai senti la main de mon compagnon abandonner mon sein, glisser contre mon ventre, ses doigts caresser l’intérieur de ma cuisse, à la lisière de mon slip, puis s’immiscer sous l’élastique. Les tempes bourdonnantes et la vision brouillée, j’ai compris soudain qu’il écartait le tissu, libérant ma vulve de toute pression. Je me suis sentie éclore, mes lèvres s’écartant, et une violente décharge de cyprine m’a inondé le vagin. Je distinguais à peine mes voyeurs, mais je vis seulement leurs regards exorbités. Pierre leur dévoilait mon intimité dans ses moindres détails et leurs yeux me perforaient le sexe. Quand Pierre a posé le doigt sur mon bouton, la pièce a basculé devant moi, et une immense vague de plaisir m’a ...