1. Bénédicte raconte: Café-Tabac


    Datte: 29/10/2019, Catégories: fhh, couple, caférestau, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme journal,

    ... durcissent, de ma vulve qui s’entrouvre et de cette humidité qui coule de moi. J’ai poussé la porte dans cet état second, et là, je savais que rien ne pouvait plus m’arrêter. J’ai vu le visage totalement stupéfait du type qui me regardait, me déshabillait des yeux sans aucune retenue, me parcourait du haut en bas, et plongeait entre mes seins. Je me sentais totalement nue, mais pas agressée. Je ne me souviens même pas lui avoir dit bonjour. Je me suis tournée vers le rayon des magazines, comme pour chercher une revue. Le gars ne me lâchait pas des yeux, et je sentais ma chatte couler comme une fontaine. J’étais complètement hors du réel, me penchant sur les revues du bas pour lui permettre de voir mes seins en entier. Je sentais son regard comme s’il me touchait les tétons avec ses doigts. (Rien qu’en l’écrivant je me sens mouiller) Je ne sais pas combien de temps j’ai fait durer ce jeu, mais le garçon ne disait rien, ne bougeait pas. Tout à coup, j’ai entendu la porte s’ouvrir. J’ai failli tomber de plaisir en imaginant que Pierre allait découvrir la façon dont je me tenais, mais à ma grande surprise, c’est notre suiveur qui s’est approché, cherchant lui aussi un magazine. Nos regards se sont croisés. Il était rouge et tremblant. S’il m’avait passé la main sous la jupe, j’aurai joui ! Je me suis encore un peu penchée, le cœur battant, pour qu’il voie ma poitrine, et je l’ai entendu murmurer : — Vous êtes superbe ! Je l’ai laissé se rincer l’œil un peu, puis je me suis ...
    ... rapproché du buraliste pour acheter un paquet de cigarette. Le gars était lui aussi cramoisi. Il lançait des coups d’œil à son autre client comme s’il avait voulu le faire disparaître, et ses mains tremblaient un peu en me rendant la monnaie. A ce moment, j’ai vu son bras s’avancer alors qu’il me disait tout bas : — Joli ! On peut toucher ? Et ça n’était pas une question parce que j’ai senti ses doigts sur mon sein. Il a eu le temps de le caresser en dessous et de saisir le téton avant que je me recule. A ce contact, j’ai senti une décharge dans le bas de mon ventre. J’avais la chatte complètement trempée (comme maintenant) et je crois que si ces deux mecs m’avaient sauté dessus, je me serais laissée faire. Je devais vraiment avoir l’air d’une salope pour que ce type se permette de me toucher comme ça. Je me suis retourné au moment où Pierre entrait à son tour, souriant, l’air calme. Il m’a pris par la main, entraîné vers le minuscule bar en demandant au gars si on pouvait boire quelque chose. Il m’a aidé à m’asseoir sur un grand tabouret. Là, ma jupe m’est remontée quasiment jusqu’à la culotte, et je n’ai rien fait pour essayer de prendre une pose moins outrageusement provocatrice. Notre suiveur attendait que le patron nous ait fait deux cafés et me fixait sans équivoque directement entre les jambes. Pierre s’est tourné vers les garçons, et j’ai failli tomber de mon tabouret quand je l’ai entendu dire : — Elle est jolie, hein ! Il est passé derrière moi, sa main posée sur ma ...