1. La mère de ma copine Elodie (8)


    Datte: 31/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Salut c’est votre folle de lycra. Ce samedi nous venions de fêter nos fiançailles avec Élodie, contre toute attente je m’étais retrouvé avec Christiane, une collègue de Geneviève, qui m’avait fait une turlutte mémorable. Cette collègue avait trouvé le moyen de s’arranger pour rester dormir sous notre toit, en l’occurrence celui de Geneviève Élodie et moi. Bien évidemment, à mes yeux, tout était manigancé. C’est ainsi qu’au moment de me coucher avec ma fiancée, cette dernière a prétexté de besoin d’aller causer avec sa mère pour me laisser tout seul dans notre chambre, c’est à ce moment-là que Christiane est apparue. Bien évidemment j’étais en douce longue nuisette et Christiane avait à peu près la même parure que moi. Ma masculinité venait d’en prendre un grand coup, mais je pense qu’elle était au courant depuis longtemps en causant avec belle-maman. Quand je l’ai vue arriver, je me suis précipité sous les draps tant j’étais mal à l’aise dans cette tenue devant cette inconnue. La gêne était énorme de mon côté, mais en même temps j’avais une érection impressionnante qui n’arrivait pas à être dissimulée par la couette. Quand elle est montée sur le lit, qu’elle a rampé sur la couette pour arriver à ma hauteur, j’ai réalisé que cette femme qui avait facilement trente-cinq ans de plus que moi, m’excitait au plus haut point. J’étais conscient, que dans quelques instants j’allais l’embrasser de nouveau, qu’elle allait me sauter dessus et que cela finirait évidemment par une ...
    ... pénétration. Quand je vois la synchronisation qu’il y a eue entre le départ de ma fiancée et l’arrivée de Christiane, il était évident qu’elles étaient de mèche. En gros ma fiancée était en train de m’offrir à une collègue de sa mère, était-ce pour me faire plaisir à moi ou pour faire plaisir à la collègue de sa mère. Son parfum était en train d’envahir mes narines, il me faisait déjà tourner la tête de désir, d’envie, peut-être même de résignation. Quelques minutes ont passé avant que mes lèvres se retrouvent connectées aux siennes et quelques secondes suffirent pour que sa langue vienne prendre possession de ma cavité buccale. — Ne t’inquiète pas mon chéri, nous avons toute la nuit si tu le désires. — Ton sexe plaît énormément à ma collègue et pour l’avoir sucé tout à l’heure, j’en ai moi aussi une énorme envie, au fond de moi maintenant. Cela avait le mérite d’être clair, Christiane voulait que l’on s’envoie en l’air tous les deux, avec l’aval de ma fiancée et de ma belle-mère. J’ai été encore un peu réticent, avant qu’elle ne vienne se glisser sous les draps et se coller à moi. Elle s’est rapidement débarrassée de sa longue nuisette, et elle m’a fait savoir qu’elle préférait que je garde la mienne ça l’excitait de me voir ainsi vêtu. Maintenant pendant qu’elle m’embrassait, elle me caressait le corps mais s’attardait plus souvent sur mon sexe. Je peux vous dire qu’une douce main féminine, en train de caresser un sexe emballé dans une nuisette en viscose c’est le summum au niveau ...
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