1. La mère de ma copine Elodie (8)


    Datte: 31/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sensations. Puis elle a disparu sous la couette, cela me faisait trop envie, car d’habitude c’est Élodie qui le faisait, et j’adorais ça. Je n’avais pas vraiment de doute quant à sa destination sous les draps, il ne m’a fallu que quelques secondes pour confirmer mes soupçons. Elle venait de passer sous ma nuisette pour venir prendre en bouche mon sexe, en même temps qu’elle me suçait, j’avais le droit à un massage au niveau de ma raie culière. Christiane savait faire bander un homme, et surtout lui faire donner le meilleur de lui-même entre ses jambes. Elle m’a carrément fait lever les cuisses pour aller me donner des coups de langue sur mon petit trou. Elle me faisait ça si bien que j’en arrivais à pousser de petits cris, pas vraiment masculins, quand elle me glissait son doigt dans le fondement. Au bout d’un quart d’heure d’un tel traitement, elle est revenue à la surface pour m’embrasser avec gourmandise mais surtout venir caresser son minou avec mon sexe. Je sentais partout la chaleur de son corps sur le mien, je pense même que j’arrivais à discerner la pointe de ses seins à peu près à la hauteur des miens. J’étais impressionné par la plastique de cette femme qui était quand même d’un âge avancé mais manifestement qui n’avait jamais pratiqué la chirurgie esthétique. En gros, bien qu’elle soit relativement âgée, cette femme était un bon coup. Pendant au moins dix minutes, elle s’est caressé toute la fente, de son clitoris jusqu’à son petit trou. C’était vraiment très ...
    ... agréable, régulièrement j’étais tenté de donner un coup de reins pour la pénétrer, mais elle me tenait fermement le sexe. Au bout d’un certain temps, elle a cessé de m’exciter avec mon sexe et le sien, pour s’allonger et surtout m’inviter à descendre à la cave. — Viens me brouter la figue ma cochonne. — J’ai envie de voir si tu es aussi bon que ce que me dit Geneviève. — Je veux constater par moi-même, comment tu te sers de ta langue sur mon abricot. Depuis le temps qu’elle était sous les draps, l’odeur de sa cyprine m’était montée au nez, en plus de son parfum très envoûtant. En fait je mourais d’envie d’aller glisser ma langue sur sa toison intime, pour découvrir le goût de cette cyprine me faisait tant envie. Tout cela pour vous dire, que quand elle m’a invité à descendre, je ne me suis pas fait prier, mais bien évidemment j’ai fait une petite escale par sa poitrine, très sensible à mes baisers gourmands et coquins. En plus d’embrasser, ses seins, je les caressais, je les malaxais délicatement, j’essayais de les exciter comme je pouvais. A voir comment la pointe des tétons était érigée, je ne pouvais pas douter une seconde comme quoi ils étaient réceptifs à mes attentions. Plus le temps passait, plus les draps commençaient vraiment à sentir l’odeur intime de Christiane, c’était quand même paradoxal que dans un lit nuptial, si je puis dire, l’odeur d’une autre femme puisse, à ce point, s’imprégner. Je culpabilisais, mais en même temps je me disais que c’étaient Élodie et ...
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