1. La mère de ma copine Elodie (8)


    Datte: 31/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Geneviève qui m’avaient envoyé dans les bras de Christiane. J’étais vraiment admiratif devant la plastique de cette femme qui devait facilement avoir trente-cinq ou quarante ans de plus que moi. Sans pour autant être un expert, je pense que par leur fermeté, par leur sensibilité, par leurs formes magnifiques, je pense que Christiane avait une poitrine digne d’une jeune fille post-adolescente. Je l’entendais maintenant soupirer et peut-être même un peu crier, à chacun de mes coups de langue, à chacune de mes caresses, sur cette partie si sensible de son corps. J’ai continué ma descente, qui contrairement à d’autres, ne me menait pas aux enfers, mais au paradis. Je me suis arrêté sur la dernière marche avant d’arriver à la cave, à savoir son nombril, bien évidemment à la même hauteur se trouvaient ses hanches et je ne me suis pas privé de m’y attarder. C’est ainsi que pendant que je commençais à lui bécoter le nœud de son cordon ombilical, de mes mains je lui caressais ses parois on ne peut plus sensibles. Pour avoir eu l’occasion de la tester voilà quelques heures, au niveau de ses cuisses, je peux vous confirmer que sa peau était d’une douceur sans égale. À chacun de mes petits coups de langue au niveau de son nombril, je la sentais sursauter de plaisir et de désir. Maintenant elle me tenait la tête, pour que je m’attarde à cet endroit, et que je continue de lui solliciter cet endroit à ce point réceptif. Après m’y être arrêté encore quelques instants, Christiane a décidé ...
    ... qu’il fallait que je franchisse la dernière marche menant au paradis des sensations. Ça y est, j’étais en train d’y arriver, j’ai commencé à sentir les poils de sa toison pubienne effleurer mon menton. L’odeur de cyprine qui s’en dégageait était croissante et intense, il n’y a pas à dire, je ne pouvais plus me passer de l’odeur du nectar intime d’une femme. Quand ce genre d’effluves me montaient à la tête, cela me mettait dans tous mes états et j’en voulais toujours plus. J’étais vraiment heureux de me trouver sous les draps à ce moment-là, car je respirais un concentré de femme, rien ne s’en allait. Maintenant ma langue était en train de se faufiler à la base de ses poils finement et proprement taillés, à la voir onduler, je pouvais en conclure que son corps n’attendait que ça. Arrivée sur le point névralgique de la sensibilité féminine, ma langue a commencé à en reconnaître le moindre millimètre carré. J’essayais d’en estimer la sensibilité où que j’aille à la découverte, ses lèvres assez développées qui dissimulaient son joyau, étaient elles aussi très sensibles. Christiane tenait mon visage un peu plus fermement, j’avais l’impression qu’elle voulait orienter mes coups de langue. Je me suis laissé guider, et j’ai rapidement constaté qu’elle voulait que mes coups de langue viennent s’égarer sur son vagin. Là j’ai découvert la source de cyprine, j’ai été impressionné par la production de ce nectar, tout son entrejambe n’était pas humide mais mouillé, pire encore, le drap ...
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