1. La mère de ma copine Elodie (8)


    Datte: 31/10/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plaisir possible contractant le flux sanguin dans mon sexe. Maintenant je lui tendais les mains et elle s’y accrochait pour rester droite, j’avais l’impression qu’elle rebondissait sur mon appendice. Pour mon plus grand plaisir je constatais, qu’elle aussi, était sur le point de jouir de ce rapport intense. Je me disais qu’il fallait que je reste encore concentré quelques instants, j’en étais à me demander qui allait jouir en premier. Mes soupçons ont été confirmés au bout de quelques minutes, quand Christiane s’est mise à pousser des cris monstrueux. Je réalisai que Geneviève et Élodie allaient de nouveau entendre crier leur amie et collègue, mais cette dernière continuait à se déchaîner sur mon sexe et nous étions tous les deux à en profiter. C’était à mon tour de jouir et de déposer toute ma liqueur dans les entrailles de ma partenaire, moi aussi je me suis mis à crier mais bien plus discrètement, seule Christiane a pu m’entendre. La DRH a continué son va-et-vient quelques instants, avant de s’effondrer de tout son long sur mon corps tout excité. Elle avait l’air épuisée, exténuée, vidée ; il n’y a pas à dire sa jouissance venait de très loin. Je sentais nos deux corps légèrement humides de transpiration, par ces sécrétions nous étions soudés l’un à l’autre. C’est de force qu’elle s’est mis à m’embrasser, bien évidemment dans cette force il y avait de la douceur et de la féminité, c’est pour cela que je me suis laissé faire. La Féline déchaînée était en train de reprendre ...
    ... ses esprits, pendant que son étalon d’un soir en faisait de même. Ce baiser passionné a facilement duré dix minutes, avant que Christiane ne se laisse glisser sur le côté, qu’elle me fasse me pencher de ce même côté, avant de venir se lover contre moi et s’endormir. Je peux vous garantir qu’après une journée de fiançailles mais surtout une soirée déjà extraconjugale, je n’ai pas été bien long à la rejoindre dans les bras de Morphée. En m’endormant j’ai constaté que ma cuisse était posée à l’exact endroit où l’entrejambe de Christiane était resté pour inonder le drap conjugal de sa cyprine. La nuit était déjà très avancée et nous avons dormi comme des bébés jusqu’au lendemain dix heures. — Salut mon bel étalon reproducteur. — Alors heureux de cette nuit de sexe. — Il va falloir que l’on remette ça très rapidement, car j’ai adoré ce que nous avons fait cette nuit. Pendant qu’elle me parlait, elle avait déjà saisi mon sexe pour jouer avec sa rigidité bien matinale. C’était une maîtresse infatigable, je n’osais imaginer qu’elle veuille déjà remettre ça, après cette nuit à ce point épuisante. Elle s’est tue pour se mettre à m’embrasser, toujours avec son côté directif, mais il y avait de la passion. À travers ma douce nuisette Christiane me caressait, elle faisait tout pour que je me réveille en douceur, l’opération était réussie. Elle s’est rendue à la douche où elle est restée un long moment dans cette petite chambre où il pleut, sans doute pour profiter du côté revigorant. Une ...
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