Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (2)
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
En ce début d’après-midi ensoleillé, il se trouvait que les hommes étaient partis ensemble pour une promenade en forêt, de sorte qu’il ne restait que les épouses pour finir tranquillement entre cafés, infusions et digestifs, tout en discutant, sur la terrasse à l’ombre d’un grand parasol, des mérites et des défauts de leurs conjoints respectifs en toute liberté. La conversation tourna naturellement vers la comparaison de la capacité – ou non - des conjoints à satisfaire les besoins charnels de leur chère et tendre. Markus arriva à ce moment-là, complètement nu, tenu autour du cou par une ficelle en guise de laisse et de surcroit prisonnier d’un carcan de fortune aussi inconfortable qu’humiliant, obligé de marcher à demi courbé, tout cela, naturellement, dans le but affiché de bien marquer l’infériorité du soumis sur ses maîtresses qui avaient tout pouvoir sur lui. La mère du garçon, indéfectible partisane de l’ordre moral, fut horrifiée de voir son rejeton ainsi impudiquement dénudé en compagnie de filles de son âge. Mais les trois autres dames étaient plutôt satisfaites, et excitées, en voyant un jeune homme dépourvu de tout vêtement et manifestement disposé à se livrer, devant elles, et pour elles, à différents jeux méchamment affriolants. Ce fut Zaza qui annonça la couleur : — Y en a-t-elles parmi vous qui ont envie d’une petit cuni ? Adrienne et moi l’avons dressé et il est prêt à vous faire tout ce que vous voulez. Pas vrai, Markus, dit-elle en tirant sur la ficelle, ...
... ce qui étranglait le garçon ? — Ou... oui, absolument tout. — Et même... avec ça, demanda Françoise en montrant un gode-ceinture qui était l’objet de sa discussion avec ses voisines ? Françoise était la maman d’Adrienne, et, contrairement à belle-sœur Mauricette qui était celle de Markus, elle était une femme libérée qui ne craignait pas les pratiques sexuelles les plus débridées : fervente adepte avec son mari de l’échangisme et des parties fines, elle était connue pour son humeur délurée, voire absolument nymphomane, et n’allait nulle part sans quelques précieux jouets coquins dont elle vantait avec éloquence les mérites à qui voulait l’entendre, passant à l’occasion à d’intéressantes parties de travaux pratiques au cours desquelles elle ne craignait pas de se dénuder en public, avant de se masturber sous les yeux étonnés de tous, et le fait même de se savoir observée dans la transgression de ce tabou lui procurait toujours de fabuleux orgasmes. Plus d’une fois, elle a connu la geôle pour exhibitionnisme – mais les juges sont toujours cléments envers celles qui n’hésitent pas à écarter les cuisses, pour eux, au bon moment. — Tout ce que tu veux, Maman, dit Adrienne en ôtant les entraves à son prisonnier. Sauf s’il prononce le mot de sécurité : « stop ». J’espère bien qu’il ne le dira pas. Et aussi, il vient d’éjaculer, sur nos pieds, parce qu’il est un sacré fétichiste de ce côté-là. Son organe de gars risque de ne plus être trop vaillant. — Crois-tu, répondit la maman ...