Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (2)
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... Vous n’aimez pas cette odeur ? Dommage. C’est un parfum que j’adore, et dont je ne me lasserai jamais. Ses sœurs Marianne et Josiane, ainsi que sa belle-sœur Annie, eurent également le droit de sentir l’odorant fluide prostatique fraîchement émis. Puis Françoise utilisa sa main qui n’était pas plongée dans l’orifice masculin afin de palper les bourses. — Mon bonhomme, toutes mes félicitations pour tes génitoires : tu as de très jolis testicules, de taille identique, bien fermes et de belle taille. Certes, le phallus n’est pas celui d’un étalon mais il possède, lui aussi, une forme magnifique lorsqu’il indique midi. Avec ton physique d’Apollon, tu pourrais poser pour les plus grands peintres, ou bien te montrer nu sur les plages afin d’éblouir les filles et les dames, qui voudront toutes te tripoter, comme ça, dit-elle en tapotant le priape sur le dessus afin d’en tester la fermeté. Sa sœur Josiane mesura la mentule avec son centimètre de couturière, et nota dans son carnet secret : Markus, 18 ans, 16 centimètres. Puis elle lui noua un large ruban rose autour de la base du pénis, en serrant bien le double nœud afin de maintenir l’érection, et en mettant en évidence deux belles rosettes bien symétriques, avant de prendre son œuvre en photo, satisfaite de cette présentation. — Tu es joli comme ça, dit-elle. J’aime bien féminiser les garçons. Comme tu es plutôt fluet et que tu as de longs cheveux, le rose te va merveilleusement. Si tu n’avais pas ce truc entre les jambes, on ...
... aurait dit une fille. Attends : je vais te passer mon colifichet mauve autour du cou. Comme cela, c’est parfait. Il est dommage que tout à l’heure, nous n’ayons pas pu assister à ton premier enculage. Vous auriez pu nous appeler pour qu’on vienne voir et qu’on en profite aussi. — Maintenant, regardez, dit Françoise : tout en continuant à presser la prostate à travers l’anus, je chatouille les bourses, puis je titille le frein du bout des ongles, comme ça. L’excitation monte, monte… On voit maintenant suinter de la rosée du désir : c’est magnifique. Surtout, il ne faut pas toucher au gland, sinon le bonhomme risque d’exploser immédiatement, et ce n’est pas ce que je veux. Regardez comme il grimace. On peut le retarder autant qu’on veut : c’est un supplice indescriptible. Nous allons le pousser à bout. Et hop, au moment critique, on lâche tout : son orgasme est ruiné ! Le sperme coule, mais il n’a presque pas de sensation de volupté. Surpris par la méthode autant que frustré, Markus pleura de cet inassouvissement, et devant son air ridicule, les jeunes filles ne manquèrent pas de se moquer de lui et de ses pleurnicheries peu viriles, accompagnées par les rires impitoyables des dames enfiévrées par le stupre. Seule sa maman demeurait de marbre, observant la scène sans intervenir, mais désapprouvant silencieusement ces excès libertin. Ensuite, les trois dames le sodomisèrent, à chacune leur tour, au moyen du gode ceinture. Tandis que l’une lui pilonnait dans le rectum au moyen du ...