Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (2)
Datte: 01/11/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... malicieuse ? Viens, Markus, couche-toi sur la table, sur le dos, les jambes relevées. Comme chez le docteur, parce que, tu sais, je suis une doctoresse. Petit cours d’anatomie : je vais vous montrer, à vous toutes, comme on réveille les garçons qui ont plus de réserve que l’on croit : même une pine qui a déjà bien juté peut toujours fournir encore. Un jeune comme toi doit avoir de solides ressources en bas du ventre. Voyons, je suppose que tu te masturbes souvent ? — Oui, au moins deux ou trois fois par jour. — Ce petit chenapan a même raté son bac à cause de cette manie obscène à laquelle il s’adonne à tout moment, précisa sa mère en soupirant. C’est devenu addictif. Quel dévergondé ! Nous aurions dû mieux le surveiller, son père et moi. Maintenant, qu’allons-nous faire de lui ? — Voyons, Mauricette, pourquoi s’en offusquer ? Il n’y a rien de plus naturel, pour un bel éphèbe, que de se toucher afin d’expérimenter des sensations que les femmes viendront lui offrir ! Car tu es puceau, n’est-ce-pas ? — William vient de le dépuceler du derrière, précisa Zaza. Il lui a défoncé la rondelle qui, avant, était toute serrée : le tableau était plaisant à regarder, même si, en matière d’hommes, nous ne sommes pas pratiquantes. — À part ça, ajouta-t-il, je n’ai jamais connu de fille. Mais elles m’ont permis de mouiller leurs jolis orteils, et pour cela, je leur en serait toujours reconnaissant. — Tu as encore le temps de découvrir le plaisir suprême de copuler, dit Françoise. Mais à ...
... l’occasion, si tu ne trouves personne à ton goût, tu pourras venir me voir, quand mon mari sera absent : je t’initierai. — C’est un peu incestueux, non ? — Nous ne sommes pas du même sang, car je ne suis ta tante que par alliance. Et puis, quel mal y-a-il à se faire du bien ? Regardez, les filles, même si nous n’aimez pas les garçons, c’est une petite leçon de biologie que vous trouverez peut-être intéressante. Françoise lubrifia abondamment son index et son majeur, qu’elle enfonça rapidement dans l’anus du garçon, toujours couché sur le dos, les jambes relevées et écartées afin que son orifice obscur soit facilement accessible. Il sursauta, surpris de ce geste invasif, se demandant jusqu’à quel point il serait le jouet des désirs de ces dames. Comme électrisée par ce geste, sa hampe se redressa dès que les doigts s’insinuèrent dans la gaine rectale, effleurèrent sa prostate, puis accentuèrent la pression en un coquin massage. L’attouchement lui causait une sensation indescriptible. — Il faut replier les doigts vers l’avant, comme pour dire « viens ici », et on sent la poche souple de la glande à travers la paroi du rectum. Tu as une toute petite prostate, comme tous les jeunes gens : en vieillissant, cet organe prend du volume. Regardez, les filles : la verge est devenue très dure, et il s’en écoule, en filet, un peu de liquide clair qui n’est pas du sperme. Elle en préleva un échantillon au creux de sa main gauche et le fit humer par les deux jeunes filles qui firent la moue. — ...