1. LA FEMME VOILEE


    Datte: 01/11/2019, Catégories: Anal Première fois Hardcore,

    ... d’orange. Et elle quitta définitivement le bureau, nous laissant seuls, Farida et moi. Nous avions déjà entamé la discussion, parlant de choses et d’autres. Je la questionnais sur son travail au sein de la société ; lui demandant s’il était intéressant et enrichissant ; si elle était bien traitée par ses collègues et par Soraya qui était, en quelque sorte, sa supérieure hiérarchique.Je lui posais des questions de plus en plus indiscrètes sur ses ambitions professionnelles et personnelles. Sur sa vie familiale ; sur sa vie tout court. Elle répondit à toutes mes questions sans fausse honte, ni fausse pudeur. Elle me dit qu’elle était venue travailler dans cette société, faute de mieux, pour le salaire conséquent qu’elle y touchait en tant que responsable juridique ; que le travail n’était pas des plus joyeux, mais qu’elle le faisait sérieusement. Qu’elle ambitionnait d’entreprendre une carrière d’avocate d’affaires, dès que sa situation maritale aura été clarifiée. Qu’elle menait une vie tranquille de fille de famille : boulot dodo ! Qu’elle ne pouvait pas se permettre, tant qu’elle n’était pas officiellement divorcée, de rêver d’une vraie vie de femme. A trente cinq ans, elle pensait déjà que sa vie de femme était terminée. Elle n’envisageait pas de retenter une aventure amoureuse avec un homme ; l’expérience malheureuse qu’elle avait eue avec son mari, la dissuadait de refaire confiance à un homme. Pendant au moins une demi-heure je la laissais s’extérioriser et se vider de ...
    ... tous les malheurs qu’elle avait eus depuis qu’elle avait épousé cet homme. Et puis petit à petit, je me mis à la consoler et à lui remonter le moral. A lui dire qu’à son âge, elle avait toute la vie devant elle ; qu’avec sa beauté, ce n’est pas un, ni deux, ni dix hommes qu’elle aura à ses pieds ; ce sont des centaines. Qu’elle aura l’embarras du choix ! Je réussis même à la faire rire aux éclats en lui suggérant de réfléchir à ce que serait sa vie avec cent hommes à ses pieds- Un enfer !Et puis, tout naturellement ma main prit la sienne pour y déposer un léger baiser dont la signification n’était évidente ni pour elle, ni pour moi. Chez moi ce fut un geste instinctif, un besoin du moment : je voulais tenir sa main pour la rassurer ; et aussi pour en tester la douceur ; et aussi pour lui faire comprendre qu’elle m’intéressait ; et aussi… Pour elle c’était un geste protection et de tendresse. Elle me laissa faire, comme si c’était naturel. J’ai gardé sa main un moment dans les miennes puis je me mis à la caresser doucement, tout en lui souriant et la regardant droit dans les yeux. Je lis dans ses yeux plein de choses contradictoires : d’une part, elle semblait apprécier ces caresses douces et légères qui la faisaient frémir tout doucement ; d’autre part, elle sentait que si elle se laissait aller, cela pourrait aller très loin ; trop loin. Il y avait un combat en elle : se laisser faire et vivre des moments torrides qu’elle pourrait regretter un jour ; résister et perdre des ...
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