1. Un certain vendredi et autres jours suivants


    Datte: 02/11/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, Collègues / Travail grossexe, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, cocucont,

    Résumé des épisodes précédents : «Un certain dimanche » «Un certain mercredi » «Un certain jeudi » Depuis qu’elle a craqué devant l’insistance de son patron et la demande de candaulisme de son mari, la vie de Sylvie a bien changé ! C’est aujourd’hui qu’elle doit sa réponse à André, son patron : être vraiment sa maîtresse ou pas… _____________________ Aujourd’hui vendredi, fin de semaine, je me rends à mon travail un peu perturbée. En effet, je dois donner ma réponse à mon patron. Je suis partagée : d’un côté, j’ai envie de dire oui, car il me comble totalement, et de l’autre, je suis honteuse par rapport à mon mari, je ne lui ai encore pas avoué comment André, mon patron, me fait jouir ! Comment lui dire maintenant l’intensité des orgasmes que j’ai pu avoir avec un autre homme que lui, et comment lui dire aussi que j’ai jamais joui autant avec lui ? De retour au boulot, je suis toujours occupée à mes tâches coutumières. Pour l’instant, mon patron est absent, je suis un peu soulagée, car hier matin, on ne peut pas dire que tout se soit passé comme prévu avec l’irruption de ces deux zigomars dans son bureau ! De plus, André n’a qu’une seule idée en tête depuis quelques jours : me sauter ! C’est très bon d’être désirée de la sorte, c’est vrai, mais à la longue, c’est épuisant ! La patronne n’est pas rentrée hier soir, si j’ai bien compris. Elle est venue à la boîte un peu avant midi. D’un pas décidé, elle entre dans mon bureau. Je prends les devants : — Bonjour, Madame ! Le ...
    ... salon s’est bien passé ?— Très bien, Sylvie ! Trop bien, d’ailleurs, car j’ai décroché des tas de commandes, et vous allez avoir encore plus de boulot !— Du moment que c’est bon pour l’entreprise !— Oui, que du bon pour l’entreprise… Ah au fait, mon mari viendra en début d’après-midi, il est en clientèle ce matin.— Merci pour l’info. Drôle de situation que de parler à la femme du type qui est votre amant ! Ça ne dure pas trop longtemps, car elle quitte rapidement mon bureau, pour aller s’enfermer dans le sien. Midi et demi, toujours pas de patron en vue, je pars me chercher un petit quelque chose à manger à la sandwicherie du coin. Vers quatorze heures, la patronne vient me dire au revoir, m’annonçant qu’elle part au Portugal pour une semaine. Ça, je le savais déjà, mais je n’étais pas censée le savoir. Il y a peu de temps, je me demandais pourquoi Anaïs cherchait ailleurs ce qu’elle avait sous la main avec son mari. Je pense que je comprends mieux : André est un sacré lapin, un peu trop obsédé sexuel sur les bords, et si c’est flatteur, vu son appétit et son machin, ça doit devenir vite épuisant de l’avoir comme amant quotidien ! J’écoute en sourdine la radio. Malheureusement, je tombe très vite sur des actualités qui n’annoncent que des catastrophes ou des malheurs. Seul point positif, le président soviétique Gorbatchev continue ses réformes, on verra ce que ça donne. Soudain l’interphone sonne, mon patron a un courrier à me dicter. Ah zut, je ne l’ai pas vu, ni entendu rentrer ...
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