Un certain vendredi et autres jours suivants
Datte: 02/11/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
grossexe,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
cocucont,
... ! Faisant bonne figure, j’arrive dans son bureau avec mon bloc-notes. Une fois en face à-face, de part et d’autre de son bureau, assise face à lui, ça ne loupe pas, André me pose la question que je redoutais : — Alors Sylvie, quelle est votre réponse à ma proposition ? Vous voyez laquelle, n’est-ce pas ?— Honnêtement, je… je ne sais pas… Amusé, sûr de lui, il me répond : — Allons, allons, il est flagrant que vous en avez envie ! Vous avez besoin d’être bien prise, de jouir comme il faut ! Alors pourquoi tant de réticences ?— C’est à cause de mon mari. Je suis honteuse de… enfin… euh…— De quoi ?— De jouir autant avec vous… Je l’ai déjà vu largement sourire, mais là, c’est totalement radieux, quasiment jusqu’aux oreilles, le mâle très fier de lui : — Mais, c’est une trèèès bonne nouvelle, ma chère Sylvie, une très bonne nouvelle !! Et c’est à cause de cela vous devriez vous privez de jouissance ? Sylvie, ma Sylvie, il n’y a pas de raison ! Aucune raison ! Vous méritez d’être comblée sexuellement et vous le savez ! N’est-ce pas ?— Euh… peut-être…— Et de plus, votre mari a le fantasme d’être cocu ! Vous vous faites du mouron pour rien.— Mais je ne lui ai pas encore dit, il va hurler quand il saura !— Et vous, que voulez-vous pour vous ? Tiens, justement, je vais tenter une petite démonstration… Il se lève, contourne son bureau pour venir près de moi. Puis sans gêne, il dégrafe sa ceinture, ouvre sa braguette, abaissant pantalon et caleçon, sa queue est déjà toute dure, bien ...
... raide : — Comme vous le voyez, Sylvie, dès que je suis près de vous, elle est aussitôt au garde-à-vous ! Puis il s’approche encore de moi, sa belle verge pointée vers mon visage, très tentante, aguichante, à deux doigts de mes lèvres gourmandes. Sans un mot, je me penche et je commence à sucer ce beau morceau, doucement, délicatement. Je viens de donner ma réponse. Après quelques bonnes léchouilles, il m’invite à me lever de mon siège. Après un furtif baiser, il me fait pivoter sur moi-même, puis il me fait asseoir sur le meuble, face à lui, avant de me coucher sur le bureau. Agenouillé à son tour, il commence à me lécher, je sens alors une jouissance monter, lentement, mais irrésistible. Impérieuse, puissante… Ça dure un certain temps ; haletante, je sens la température monter, puis juste avant que je ne craque, sans un mot, André se relève, les lèvres luisantes. Puis s’installant entre mes cuisses, il commence à me pénétrer avec une certaine facilité qui me sidère, même si je sens sa chair riper contre les bords de mon tunnel intime. Et pourtant, sa bite est bien grosse ! Avec délice, je sens de nouveau sa queue prendre toute la place, m’écarter, m’explorer, me fouiller. Dieu que c’est bon ! À voix basse, il me dit : — Oh Sylvie, que vous êtes serrée ! Mais ne vous inquiétez pas, je vais bien vous élargir petit à petit, doucement, car je vais vous prendre tous les jours. Et ce, à partir de lundi, nous allons bien en profiter, vous et moi, ma femme part une semaine au Portugal. ...