1. Un taxi pour deux


    Datte: 11/09/2017, Catégories: fh, inconnu, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, nopéné, jeu, occasion,

    Coincé pour des raisons professionnelles lors d’un long week-end à Paris, voici l’histoire surprenante qui m’est arrivée. Pour me détendre d’une dure semaine de travail, j’avais opté pour une journée de farniente en bord de Seine. Allongé sous un soleil de plomb et entouré de charmantes nymphes en tenues légères, pendant tout l’après-midi, j’ai laissé vagabonder mon esprit dans une rêverie érotique peuplée de magnifiques créatures. J’étais entouré par ces charmantes jeunes étudiantes allongées non loin de moi, dont les corps, ambrés par le soleil, prouvaient qu’elles venaient ici très régulièrement entretenir leur bronzage. Elles profitaient, elles aussi, de cette belle journée d’été. Malgré cette compagnie fort agréable, la chaleur en cette fin d’après-midi était devenue si suffocante que l’envie d’aller lécher une glace devenait vraiment trop forte. Je me décidai alors de quitter les bords de Seine. Tout en remontant les quais, dans l’idée de trouver enfin une source de fraîcheur, mes yeux se nourrissaient des sublimes images parisiennes où les couleurs sombres et rosées d’un soir tombant avant l’orage ne laissaient pas insensible le photographe amateur qui sommeillait en moi. Mon inséparable appareil photographique toujours à portée de main afin de pouvoir saisir un instant, une atmosphère ou un lieu pour le plaisir des souvenirs. Au même instant, une jeune femme pensait, elle aussi, à rentrer. Elle était passée voir une amie qui l’avait invitée à prendre un verre, ...
    ... passer l’après-midi pour papoter entre filles et essayer toutes leurs nouvelles toilettes achetées dernièrement, juste pour le plaisir d’être entre amies et partager un moment de convivialité. Il se faisait déjà tard. Elle se préparait à rentrer quand, tout à coup, l’orage qui grondait déjà depuis quelques temps au loin, vint à frapper plus fort, tout près. — Brrr ! J’ai horreur de l’orage, dit-elle à son amie.— Prends le métro, comme ça sous terre, tu n’entendras pas ces grondements et tu seras ainsi plus rassurée, lui répondit-elle. Prenant ainsi congé de son amie, elle se dirigea d’un pas rapide vers la station de métro la plus proche. La station était, malgré tout, à une bonne dizaine de minutes à pied. Ses talons hauts, qui mettaient en valeur son si joli tailleur, ne lui facilitaient pas la tâche pour accélérer le pas avant l’averse qui semblait maintenant inévitable. L’orage se rapprochait de plus en plus. Un doux vent chaud commençait à se faire sentir dans les arbres de la grande avenue. Les feuillages vibraient de plus en plus tandis que quelques gouttes commençaient déjà à tomber. Sa paire de chaussures à talons, qui amplifiait si bien sa cambrure et mettait tellement bien en valeur sa jupe fendue jusqu’au haut des cuisses, l’empêchait de courir vers la station de métro qui pourrait l’abriter et qui était encore assez loin. Les gouttes de plus en plus rapprochées commençaient à humidifier son chemisier léger que ni la chaleur ni même le vent n’arrivaient plus à sécher ...
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