Un taxi pour deux
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
nopéné,
jeu,
occasion,
... maintenant. Les gouttes de plus en plus grosses, qui marquaient peu à peu son chemisier, rafraîchissaient malgré tout l’atmosphère qui était devenue si lourde. Elle ne connaissait pas bien Paris et avait peur d’arriver totalement trempée dans le métro. Son chemisier, que l’eau rendait transparent, laissait ainsi transparaître ses dessous satinés. Ses dessous soulignaient parfaitement sa silhouette sexy. C’est à cet instant qu’elle se mit en quête d’un taxi pour l’abriter. Les taxis en fin d’après-midi du mois d’août n’étaient pas si nombreux à circuler dans cette rue tranquille. L’orage maintenant zébrait le ciel qui, noirci par les nuages, rendait cette atmosphère si particulière aux orages d’été. Mon appareil photo à la main, je profitais de ces instants pour figer les lumières et la beauté de Paris en été. Au bout de quelques minutes, l’orage était devenu si intense que l’eau commença à se déverser comme un orage que seuls les tropiques connaissent si bien. De peur d’abîmer mon fidèle ami, qui n’aimait pas vraiment prendre l’eau, je me mis aussitôt, moi aussi, à la recherche d’un taxi. Regardant partout et cherchant en vain cet abri, je me mis à courir en remontant la rue qui me semblait interminable. Tout à coup je vis arriver face à moi et surgissant de nulle part, une voiture noire surmontée de sa petite lumière qui signifiait que le taxi était libre. Lui faisant signe frénétiquement, je traversai la rue en courant comme un fou sous cette pluie battante. J’ouvris la ...
... portière et m’engouffrai enfin au sec. Au même instant, l’autre portière du taxi s’ouvrit, elle aussi. C’est ainsi que je me retrouvai assis aux côtés de cette magnifique inconnue. C’est dans un premier éclat de rire que, tous les deux trempés, nous avons décidé de partager le taxi. La climatisation de la voiture tranchait avec la chaleur et la moiteur extérieure et commençait à la faire greloter. J’avais dans mon sac une serviette qui était, malgré tout, restée sèche. Je lui ai proposé de se sécher et de la réchauffer. Grelottante, elle accepta rapidement la douceur de cette serviette encore chaude des rayons du soleil. La douceur de cette étoffe caressait sa peau et lui rendait peu à peu le sourire. Avec la proximité de nos corps, j’en profitais pour lui faire des compliments sur sa tenue qui tranchait sur la décontraction d’un week-end d’été à Paris. Mes yeux glissaient sur son corps et j’appréciais ses dessous colorés que son chemisier trempé et devenu transparent laissait voir sans mal. Je croisais le regard du chauffeur qui semblait lui aussi apprécier. Tout d’abord gênée de savoir que nous la regardions ainsi, elle éclata de rire en s’apercevant que tout le monde pouvait aussi la voir et qu’après tout le spectacle était certainement fort agréable. Cela ne lui déplaisait pas tant que cela. Ses mains dégrafaient peu à peu son chemisier et venaient sécher et découvrir la teinte de sa peau qui tranchait avec les couleurs de ses dessous. Son bronzage si pâle montrait qu’elle ...