Un taxi pour deux
Datte: 11/09/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
nopéné,
jeu,
occasion,
... ne devait pas souvent s’allonger en tenue légère au soleil. Le spectacle qui m’était donné était exceptionnel. En passant près de l’observatoire de Paris, j’étais émerveillé par la lumière, les nuages et le ciel qui formaient des images sublimes. Mon amour pour les belles choses me fit aussitôt prendre mon appareil et je commençai à mitrailler. Je cherchais toujours le meilleur angle, tournais dans la voiture pour faire la meilleure prise et ainsi conserver cette atmosphère si particulière. Elle était intriguée de ma passion pour la photo et voyant que je pouvais, avec mon appareil, visionner en direct les clichés, elle me demanda si je pouvais les lui montrer. C’est ainsi que je me retrouvai serré contre elle pour regarder mes images. Le contact de son corps contre moi réveilla mes sens et mes yeux glissèrent sur ce corps presque nu à mes côtés. Mon regard croisa le sien et grâce à nos sourires respectifs, nous comprîmes que cette situation ne nous déplaisait pas. Sa main m’effleurait par moment quand elle voulait me montrer tel ou tel détail d’une photo. Au détour d’une photo, je me rendis compte que je l’avais, elle aussi, capturée dans le feu de l’action. Elle se trouvait en tenue légère, chemisier ouvert, avec en arrière-plan ce Paris aux couleurs si particulières. Elle n’était ni surprise ni même choquée par ce cliché et le trouvait très beau, avec une légère teinte érotique, ajouta-t-elle. Elle était persuadée que je l’avais prise exprès pour garder un souvenir de ...
... cette situation si particulière dans laquelle nous étions. Le chauffeur continuait, discrètement du regard, à contempler nos échanges. Je repris mon appareil et, par jeu, mon doigt déclencha une photo d’elle contre moi. Dans un éclat de rire commun, tout en regardant cette photo, elle me surprit. En un clin d’œil, elle me prit l’appareil des mains et commença à vouloir, elle aussi, s’essayer à la photographie. Elle a déclenché quelques photos, tournée vers moi. L’un contre l’autre, presque enlacés, nous avons regardé ses photos. — Ce modèle n’a pas votre qualité érotique, lui dis-je. Effectivement, peu enclin à apprécier une photo d’homme, de surcroît de moi, je ne pouvais apprécier ces clichés. Je la trouvais sublime. Reprenant mon appareil, je débutai une série de prises qui n’avait qu’elle comme modèle. Mon regard au travers de l’appareil contemplait son corps qui se laissait aller. À cause de l’alcool qu’elle avait bu avec son amie et grâce à l’atmosphère si particulière de ce taxi, elle se laissait aller comme dans un rêve… un fantasme. Jupe fendue, les seins couverts d’une fine dentelle, allongée, elle prenait des poses de plus en plus félines. Son regard de braise me réchauffait et me permettait de m’approcher de plus en plus d’elle. Les photos glissaient comme des caresses, comme un doux zéphyr qui effleure la peau et fait monter le frisson du plaisir. Ma main se glissa sur ses cuisses, pour apprécier la douceur de ses bas qui remontaient sous cette jupe fendue, ce qui ...